Tortures et rencontre. [Pv: Zachariel]

Voilà maintenant une semaine, jour pour jour que je ne me suis pas divertie en torturant quelqu'un ou autre raison et l'ennuie me vient de nouveau comme à chaque fois. J'étais dans ma chambre comme d'habitude à me rendre belle, même si je ne sortais pas, c'était un moyen pour moins m'ennuyer. Assit sur mon fauteuil orné d'or et de soie bleu, je me regardais dans mon miroir pendant que mon valet Christian me coiffer ma longue chevelure. Mon antre était d'une grande beauté, mur noir orné aux extrémités de papier d'or représentant des vampires et des démons, plafond de couleur noir et sol recouvert d'un tapis rouge bien nettoyé. Pour les meubles, quelques commodes en bois noirs décorés d'or qui font aussi les poignets, une armoire entièrement fait d'or, un bureau en bois assez simple, un miroir dont le tour et décoré de démons et de vampires en or et enfin mon fauteuil avec du bois noir, quelques décorations en or et du tissu de première qualité pour le confort en bleu. Une fois que mon fidèle valet avait terminé de s'occuper de mes cheveux, il me prit doucement une main pour commencer une manucure. Que tout cela est un ennuie et je le montrais en soupirant, se qui attira l'attention Christian.

- Mademoiselle ne va pas bien? Est ce que j'ai fais quelque chose de mal?

- Pas du tout mon cher Christian, je m'ennuie tout simplement et comme d'habitude.

- Mais Mademoiselle m'a fait demander justement pour que je vous fasse une beauté et qu’ainsi, elle puisse être divertie.

- Oui je le sais bien Christian, mais au bout d'un moment on finit par s'en lasser.

- Veuillez m'excuser de ne pas réussir à faire se que vous m'avez demandé.

- Assez avec vos excuses Christian, cela ne m'ennuie pas mais ça m'agace. Je ne sais vraiment pas quoi faire de mes journées en ce moment.

Christian ne me répondit pas tout de suite, car il venait de terminer la manucure de ma main. J'observais ce magnifique travail, puis je lui est redonné ma main pour qu'il vernit mes ongles.

- Mademoiselle pourrez se divertir en capturant encore quelqu'un.

- Torturer oui, mais après qu'est ce que je ferrais quand j'en aurais finis. Non vraiment les tortures commencent à être lassantes.

Le vernissage était finit, un beau vernis bleu illuminait mes ongles et c'est alors qu'une autre lumière apparue, celle d'une idée. J'ai avant donné mon autre main à mon valet pour qu'il commence la manucure.

- En faite, une torture n'est pas une si mauvaise idée en fin de compte.

- Je vais donc prévenir les servants de chasse pour qu'il vous capture quelqu'un.

- Attend, je désire un truc bien précis.

- Que désirez-vous alors Mademoiselle?

Il me lâcha la main pour que j'observe son travail, puis je l'ai laissé faire le vernissage des ongles.

- Je veux qu'on me capture un Ange!

- Un ange! Sauf vôtre respect Mademoiselle, les anges se font de plus en plus rares et je pense hélas que nous ne pourrons trouver un ange, surtout dans nôtre monde.

- Si te plait Christian, je voudrais tellement que l'on me trouve un ange, je n'en est pas torturer depuis plus de deux ans maintenant, j'en ai même oublié la blancheur de leurs ailes. J'aimerais tellement décorer ce blanc de son sang et qu'il sache qu'il est imprudent d'être dans les terres du mal quand on est un ange.

- Je ne pourrais jamais ne pas vous obéir Mademoiselle, cela prendra le temps qu'il faudra, mais nous allons vous trouver un ange.

- Merci beaucoup mon cher Christian, toujours aussi fidèle et aussi obéissant.

Il venait enfin de terminer le dernier vernissage et j'adorais ce magnifique travail. Je lui tapotais un peu la tête pour le remercier, comme on le ferrait avec un animal qu'on aime bien et il s'en alla de ma chambre en s'inclinant devant moi. Il se dirigea dans les couloirs pour aller voir les servants qui chassaient pour moi et leur ordonna de trouver pour moi un ange dans les parages. Ils n'ont pas perdu une seule seconde et sont partis sur le champ, pendant que Christian était revenu pour continuer ma petite beauté. Je n'avais plus qu'à attendre se que j'ai demandé et j'avais déjà hâte de torturer cette personne.

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Cela fait un long moment que mes servants sont partis chercher se que je désirais et je m'ennuyais profondément. Après s'être occupé de mon visage et de m'avoir rendu d'une magnifique beauté, il s'occupait de rendre les ongles de mes oreilles présentables aussi. Il faisait exactement la même chose qu'il avait fais aux ongles de mes doigts puis quand il avait enfin fini, il n'y avait plus rien à faire. C'est alors qu'un domestique vint dans ma chambre, m'annonçant que les servants que j'avais envoyé, étaient enfin parvenus à capturer un ange. Ma joie était immense, mais je fus un peu déçu de savoir qu'il avait des ailes noirs, ce n'est pas trop grave je m'amuserais de le déplumer comme un vulgaire poulet. Je me suis donc dirigée vers les cachots du sous sol pour pouvoir admirer la belle chose qu'on m'avait amené, laissant Christian à l'entrée si j'avais besoin de lui. C'était un jeune homme, surement avec quelques années de plus que moi. Le voir ainsi me fit rigoler de l'intérieur, cela faisait bien longtemps que je n'ai pas pu voir des ailes d'anges.

- Réveille toi, je sais que tu es conscient, on me l'a fait pas à moi.

Il leva alors sa tête et en voyant son visage, je fus assez surprise de voir un visage aussi magnifique, je n'en avais plus vu depuis longtemps. Un sourire sadique se dessina sur mes lèvres et je suis entrée dans le cachot, pour m'approcher de lui. Je levais la tête pour le regarder droit dans les yeux et on pouvait voir dans mes yeux un côté démoniaque que seul le grand maitre du mal pourrait affronter sans problème. J'ai donc passé ma main sur sa joue pour le toucher, il avait la peau très douce, puis je l'ai descendu à son cou, qui me donnait envie et on pouvait très nettement voir mes crocs déjà prêts à s'enfoncer dans sa chaire.

- Tu n'as pas eu de chance pauvre ange que tu es, tu es tombé entre les mains d'une des plus diaboliques jeunes demoiselles du royaume du mal. Peut être que tu as entendu parler de moi, Maria Veleno, la spécialiste de la torture. Tu es beau, je vais avoir un réel plaisir à te torturer, jusqu'à se que tu sois mort. Voyons un peu quel goût tu peux avoir. Ne t'en fais surtout pas, temps que je ne mords pas ton cou, tu ne risques pas d'être transformé.

Approchant mon visage d'un de ses bras, je léchais doucement sa peau avec ma langue et d'un coup, je plantais des crocs dans cette chair pour commencer à boire son sang, qui est au passage un vrai régal.

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Son sang était d'une grande pureté, de toute façon c'est bien connu, le sang d'ange est le meilleur que l'on puisse goûter, surtout quand on le prend de force. Je me suis seulement contentée de quelques gorgées pour m'ouvrir l'appétit, puis je retirais mes crocs, en laissant le sang que j'avais encore sur mes lèvres avec ma langue. Je souriais tellement j'étais heureuse de pouvoir le torturer, mais je pouvais voir que quelque chose le travaillé, je me demandais bien à quoi il pouvait penser. Il me fit alors une remarque sur se que j'allais lui faire et je me mis à rire doucement, assez pour qu'on m'entende et une touche diabolique était présent dans ma voix.

- Si je buvais le sang de mes victimes comme tu viens de le dire, je ne serais pas réputée pour mes tortures. Je compte bien profiter de toi le temps que tu sois en vie. Je vais te faire connaitre les pires tortures que l'on peut imaginer et même les plus inhumains. Vu que tu es encore bien frais, je compte m'amuser un peu avec toi.

J'ai ensuite posée ma main sur la marque de morsure sur son bras et je l'ai emprisonnée dans de la glace, ainsi que le reste de son bras. Ensuite j'ai enlevé ma main de son bras, j'ai pris une poignée de ses ailes et je les ais arrachées d'un coup sec, avec un sourire démoniaque et un regarde remplie de sadisme. J'en arrachais plein, les plumes tombèrent énormément à terre, puis je me suis arrêtée, me disant qu'il avait assez souffert de voir ses ailes se faire déplumer. J'ai pris une plume qui était au sol et je l'ai mit dans une de mes poches. C'est alors que mon valet Christian s'approcha du cachot et s'inclina devant moi. Cela n'énervait d'être dérangée et je me suis retournée vers lui, lui montrant dans mon regard qu'il me gênait.

- Que veux-tu Christian?

- Le repas de Mademoiselle est servit dans la salle à manger.

- Tu sais pourtant que j'ai horreur que l'on me dérange pendant mes occupations.

- Que mademoiselle me pardonne, mais je pensais que vous auriez faim.

- Ce n'est point le cas mon cher Christian. Dites au cuisinier qu'il me garde mon repas pour ce soir. Je me sens plutôt d'humeur à profiter de cet ange.

- Très bien. Mademoiselle désire autre chose avant que je l'a laisse à ses affaires.

- Oui. J'aimerais que le cuisinier mette dans une assiette les restes du diner d'hier et apporte le moi.

- Mais Mademoiselle à déclarée quelques secondes avant qu'elle n'avait point faim.

- Idiot! Ce n'est pas pour moi, je ne rabaisserais pas à manger de simples restes, tu le sais bien pourtant. Non, c'est pour cet ange, je ne veux pas le voir mourir rapidement, je veux qu'il vive lentement ma torture. Va donc me chercher cette nourriture, sur le champ!

- Oui Mademoiselle.

Christian est donc tout de suite partit chercher se que je lui ai demandé. Moi en attendant, je regardais cet ange devant moi, tout en passant ma main sur ses joues, puis après quelques secondes, il revint avec une assiette contenant une soupe aux légumes verts qui venait tout juste d'être réchauffée. J'ai donc prit l'assiette et Christian et tout de suite partit pour surveiller l'entrée.

- Tu as de la chance jeune ange que se soit moi qui te donne à manger. Je n'ai pas l'habitude de nourrir moi même mes jouets de tortures. Mais je désire en savoir un peu plus sur toi. Pour commencer, quel est ton nom?

» Zachariel, l'ange serviable.