Explication et révélations (PV Angie)

J'étais sortis faire un tour aux enfers car je m'ennuyait. Seulement un truc étrange se produisit, je retrouva Angie évanouie sur le sol. Je repensait à l'autre nuit passé ensemble et je me dit que je lui devait bien quelques explications. Je la ramassait donc et la porta jusqu'à l'ancien palais de son ancien maître. Il me semblait que c'était le lieu le plus approprié. Je m'assit sur ce qui étais le trône. Rein n'avait changé depuis le jour où le maître du bien avait été carbonisé quelques mètres plus loin.

J'attendais qu'Angie se réveille, j'ignorai dans quel état d'esprit je la trouvais. Nous ne nous étions pas revus depuis cette fameuse nuit.

Je repenssais sans cesse à cette nuit passer avec Abriel. Depuis,j'étais retourner au paradis faire mon travail, mais je pensais à lui à longueur de temps. Plus les jours passaient, plus son absence m'était douloureuse. Plus d'un fois, je faillis lâcher une mission en cours pour aller le voir en enfer jusqu'à me rendre compte de ce que je faisait. J'étais si mal sans Abriel que j'en venais à ne plus manger, ne plus dormir... je commençais à être mal physiquement, chaque fois que j'étais seule, je craquais en pensant à lui, pleurant parfois pendant des heures, murmurant son prénom à répétition, comme s'il pouvait m'entendre... Finalement, je me décidais, enfilant mon habitude cape de velours noir, je filais vers les enfer.. je n'en pouvait plus, je voulais le voir, le toucher, le sentir contre moi... Mais voilà, mon corps devenait si faible à force de ne plus manger et de ne plus dormir qu'une fois dans les enfer, avec la chaleur, je perdit connaissance. je ne savais pas que c'était Abriel qui m'avait trouver et qu'il avait même prit la peine de me ramener au paradis. C'était aussi très étrange que ce soit lui qui m'est trouver, fruit du hasard ? coïncidence ? je ne sais pas...

J'ouvris doucement les yeux, autours de moi, mes mur brillait, il faisait bon et j'étais allonger sur quelques chose de doux. Je me redressais, épuiser et enfin, vit celui que j'aimais.

- Abriel...

Angie ouvrit les yeux et les posa immédiatement sur moi. Je me levais, l'assis à ma place et me remit à faire les cent pas dans le palais. Je ne devais pas rester longtemps mais je devais li parler de son ancien maître.

- Angie tu dois m'écouter. Sait-tu pourquoi je t'ai amenée ici ?

Je l'appréciait mais j'étais le maître des Enfers et je me devais de lui faire assimiler certaines choses. Je m'assit sur une grosse pierre, laissa un moment s'écouler e finit par demande :

- L'autre nuit je t'ai parler brièvement de ton ancien maître. Souhaites-tu savoir pourquoi je suis devenu comme ça et quelles étaient les intentions véritable de ton maître ?

Libre à elle de refuser mais alors elle ne serait pas en mesure de comprendre pourquoi je la traite aussi durement.

Je sentit mon coeur se soulever, je me levais rapidement, Abriel fit de même et se dirigea vers moi pour me faire assoir sur le siège.

- Angie tu dois m'écouter. Sait-tu pourquoi je t'ai amenée ici ?

je le regardais étonner. je ne comprenais pas tout, mais je répondit:

- non...je ne sais pas....

Il semblait nerveux, et moi je commençais à avoir peur. NOn pas de lui, de ce qu'il allait me révéler. je reprenait tout juste conscience, je ne l'avais pas vu depuis des jours, il m'avait atrocement manquer et je ne pouvais rien faire...

- L'autre nuit je t'ai parler brièvement de ton ancien maître. Souhaites-tu savoir pourquoi je suis devenu comme ça et quelles étaient les intentions véritable de ton maître ?

Je secouais la tête je n'étais pas dupe, je me douter que mon ancien maître avis fait quelques chose de mal. mes doigts se crispèrent sur le siège, j'avais l'estomac nouer.

- je veux savoir...

Elle me répondit qu'elle ne savait pas pourquoi je lavais amené ici. Je n'avais pas trop de temps je ne voulais pas qu'on se rende compte que je m'étais absenté des Enfers. A ma question elle me répondit qu'elle souhaitait savoir ce qui s'était passé. J'acquiesçais.

- Quant il n'y avait pas encore de bien et de mal, ton maître et moi étions de la même races : les anges. La mission des anges est de protéger les humains. Seulement ton maître à voulu prendre le contrôle des humains, pour flatter son égo. Je n'étais pas d'accord, je trouvais ça injuste. Nous avons d'abord commencé par nos disputer, ce n'était qu'entre lui et moi.

Je regardais Angie, elle semblait étrangement inquiète. Après tout peut-être valait-il mieux qu'elle ne sache pas...

je regardais Abriel étonner. je n'en croyais pas mes yeux et surtout mes oreilles !!!

- tu était..un ange ? !

Je ne savais pas encore ce qu'on mon maître avais fait, mais j'ai comme l'impression que cela vas renforcer ma haine envers lui et me rapprocher un peu plus d' Abriel. Je me lève de mon siège, tellement inquiète que je n'arrive pas à rester en place. je m'approche d'Abriel, le regardant dans les yeux.

- continue Abriel... je t'écoute.

J'essayais de me préparer mentalement à ce qui allais suivre. Je ne quittais pas pas le démon du regard, glissant ma main dans la sienne ou j'y trouvais comme toujours, le réconfort nécessaire. Je voulais savoir la vérité, je comptais sur Abriel pour me la dire, mais j'avais tellement peur qu'il est subit des choses atroces que je me sentais de nouveau nauséeuse.

Angie était stupéfaite que par le passé je soit un ange, je développais donc un peu plus la situation d'avant :

- Avant les démons n'existaient pas. Je suis leur fondateur.

La jeune fille l'invita à poursuivre ce qu'il fit :

- Au départ seuls lui et moi étions en conflit, puis d'autre anges s'en sont mêlés et je fut chassé d paradis. Je créais donc mon monde ou il n'y aurait pas de règles et je créais les démons. Quelques anges tombèrent avec moi puis ceux restés "en haut" envoyèrent les hommes contre nous. C'est donc eux les fondateurs du mal. J'ai ensuite décidé de me venger en détruisant tout cela. Maintenant quiconque s'opposera à la liberté devra en payer les conséquences.

Je marquais une pause puis acheva :

- Si ton stupide maître n'avait pas monter les anges les uns contre les autres, on en serait pas là.

Je fixait Abriel bouche bée. Depuis le début, nous n'avais été que mensonge... J'avais souffert, Abriel lui souffert avait souffert...et tout cela pourquoi ? pour un homme égoïste qui se croyait au dessus de tout !!!!!

- Si ton stupide maître n'avait pas monter les anges les uns contre les autres, on en serait pas là.

Je caressais la joue d'Abriel, sentant mes larmes monter, j'avais mal dans la poitrine, mal pour Abriel..J'étais déçus... je me demandais pourquoi je me battais, me demandant si tout cela en valais vraiment la peine. Je reculais d'un pas, folle de rage, fit volte , visage cacher entre mes mains. J'avais beau aimer Abriel, je m'en voulais de l'avoir juger toute ses années sans savoir. je poussais un cri de rage , me laissant tomber à genoux sur le sol, le frappant du point. J'étais mal, trop mal. Je posais mes mains au sol, visage baisser, sanglotant alors qu'autour de moi, tout était entrain de gelée, le sol se recouvrant une fine couche de givre, de longs stalactite se formèrent au plafond. Je murmurais, en pleurs:

- je suis tellement désolé que tu es à subir cela... j'ai été injuste envers toi... tellement de fois.... je t'es repousser, je t'es juger...sans savoir la vérité...

Je n'osais plus le regardais, je ne le méritais pas.

A ma grande surprise Angie s'effondra, il ne manquait plus que cela. Je me levais, la regardant d'un air sévère.

- je suis tellement désolé que tu es à subir cela... j'ai été injuste envers toi... tellement de fois.... je t'es repousser, je t'es juger...sans savoir la vérité...

Je sentais la colère monter en moi. Je faisais fondre la glace qu'elle faisait apparaître, inondant le sol poussiéreux du palais.

- Maintenant tu le sais mais ne vas pas croire que je suis un saint qui se bat pour la bonne cause ! Je ne vit plus que pour me venger et détruire, j'ai prit gout à faire du mal aux autres et ce n'est pas sur mon passé que tu dois me juger !

Je marquais une pause, j'avais hurlé sans le vouloir.

- Mon seul objectif désormais c'est de détruire et semer la souffrance. Je voulais que tu saches ou met les pieds. Le passé c'est le passé !

Seul le présent et l'avenir compte et finalement je me demandais pourquoi je lui avait parlé de tout cela.

Pourquoi se mettait-il à hurler sur moi...je n'avais rien fait de mal cette fois... je me sentais encore plus mal, je le regardais, les yeux baignés de larmes et murmura.

- Abriel... je...

Pfff... que pouvais-je bien dire de toute façon. Au finale, j'étais perdante. Encore. Je pensais pouvoir me rapprocher de lui, j'étais réellement compatissante envers lui, je ne me forçais pas.

- Mon seul objectif désormais c'est de détruire et semer la souffrance. Je voulais que tu saches ou met les pieds. Le passé c'est le passé !

- ne t'en fait pas..je sais parfaitement ou je met les pieds.

J'avais répondu sur un ton froid. Je savais à présent, que je m'étais fait des illusion sur lui, je n'étais rien à ses yeux, à part un jouet. Ma haine pour lui refit surface, mais je la contenait en moi, gardant les yeux river sur le sol humide.

- je pensais que tu avais compris que...je t'aime pour ce que tu es...bon...Ou mauvais.

Même sous cette apparence hideuse, je l'aimais quand même. Je me levais du sol, lui tournant le dos et je me rallongeais sur le lit ou je m'étais réveiller...je me sentais mal...et extrêmement seule.

Angie me répondit froidement qu'elle savait où elle mettait les pieds et sur le coup j'espérais qu'elle comprenait le sens de ses paroles.

- je pensais que tu avais compris que...je t'aime pour ce que tu es...bon...Ou mauvais.

Je m'approchais d'elle, posant ma main bouillante sur son épaule froide.

- Je le sais. Je veux juste que tu ne te fasse pas d'illusions sur ma personnalité, que tu prennes tes décisions en connaissance de cause... que tu ne soit pas manipulée une fois de plus à cause du fait que tu ne connaisse pas tous les détails sur les gens et ce qui se passe.

Je sentais un malêtre ne elle et je me demandais sérieusement si j'avais bien fait de lui expliquer tout cela.

Abriel s'approcha, posa sa main chaude sur mon épaule. Sentir se contacte agréable sur ma peau, m'offrant une vague cette sensation de sécurité que je n'avais qu'avec lui. Je posais ma main sur la sienne et le regarda.

- Je le sais. Je veux juste que tu ne te fasse pas d'illusions sur ma personnalité, que tu prennes tes décisions en connaissance de cause... que tu ne soit pas manipulée une fois de plus à cause du fait que tu ne connaisse pas tous les détails sur les gens et ce qui se passe.

une fois de plus je m'en voulais de mettre mise en colère, il s'inquiétais juste de savoir que je prenais les bonnes décisions et que je ne sois pas manipuler. je le tirais par la main pour qu'il s'assois prêt de moi et lui dit avec douceur:

- je sais que je ne suis pas facile à vivre, je n'en fait qu'à ma tête..Mais... j'ai peur...

Non pas que j'étais faible, juste..Inquiète.

- j'ai peur qu'il t'arrive quelque chose, de ne jamais te revoir... cela me hante jour et nuit Abriel...

J'avais à nouveau se besoin de me confier à lui. Je serrais sa main doucement et ajouta:

- je n'en mange plus... je n'en dors plus... je fait toujours ces cauchemars où je te voit périr... je sais que c'est idiot... mais... c'est comme ça... je m'inquiète pour toi.

Je regardais Abriel, plongeant mon regard bleuté dans le sien et murmura:

- je n'est même plus le courage de me battre contre toi... l'idée de te lever la main dessus me rend malade !

Lorsque je finit de m'expliquer, je sentit un élan de culpabilité envahir Angie. Son ton changea radicalement :

- je sais que je ne suis pas facile à vivre, je n'en fait qu'à ma tête..Mais... j'ai peur...j'ai peur qu'il t'arrive quelque chose, de ne jamais te revoir... cela me hante jour et nuit Abriel...je n'en mange plus... je n'en dors plus... je fait toujours ces cauchemars où je te voit périr... je sais que c'est idiot... mais... c'est comme ça... je m'inquiète pour toi. je n'est même plus le courage de me battre contre toi... l'idée de te lever la main dessus me rend malade !

J'étais stupéfait, je ne comprenait pas que l'on puisse tenir à un être aussi ignoble que moi. Je restait un moment sans pouvoir parler puis finit par, faisant mine de me mettre en colère :

- Comment ça tu manges plus et tu dors plus ? jsuis pas d'accord, suis le seul à avoir le droit de te faire du mal, même toi je t'interdit de t'en faire!

J'attendis une réaction quelconque avant d'ajouter :

- Je rentre, on caille ici. Tu viens ?

L'expression d'Abriel changea brusquement, il semblait..étonner. je le regardais avec des yeux rond quand soudain il me cria:

- Comment ça tu manges plus et tu dors plus ? j'suis pas d'accord, suis le seul à avoir le droit de te faire du mal, même toi je t'interdit de t'en faire!

je me crispais soudain, reculant et bégaya en rougissant:

- mais..mais..je...pardon !!!!

Je m'excusais, effrayer et surtout étonner.

- Je rentre, on caille ici. Tu viens ?

je regardais Abriel un instant et murmura:

- tu veux que...je vienne avec toi ? vraiment ?

je sentit une vague de bonheur traverser mon corps et je dit tout simplement:

- d'accord...

Sans crier gare, je passais une main derrière la nuque d'Abriel et sans qu'il s'y attende, je l'embrassais en le tirant vers moi. Lentement, je glissais ma langue dans sa bouche pour venir caresser la sienne avec douceur, lui offrant un baiser langoureux et sensuel.

Alors que je faisais mine de la disputer (ce qui n'étais pas entièrement faux puisque je je n'approuvais pas son comportement vis à vis de sa santé), Angie se confondis en excuses, ce qui m'agaçait un peu, je dois l'avouer. Surtout sur une boutade. Lorsque je lui proposais de venir avec moi, retourner aux Enfers, elle resta bouche bée.

Puis elle m'embrassa sans crier gare. Elle ne semblait pas encore avoir cerné ma personnalité, mais moi je n'avais pas encore cerné la sienne. Je la laissais faire, sans pour autant lui répondre vraiment et nous téléportais dans mon bureau.

- Tu devrais aller te reposer tu est pale.

Je retournais ensuite à mes dossiers, la laissant réfléchir.

Bon, abriel n'étais pas chaud par le baiser, tant pis... IL nous téléporta dans son bureau. je regardais autours de moi, un peu étonner.

- Tu devrais aller te reposer tu est pale.

je regardais Abriel un instant et murmura poliment:

- euh...oui...mais...y a une auberge dans le coin pour ça ?

A moins qu'il me propose sont lit, je ne voit pas vraiment ou je pourrais reprendre des forces si se n'est dans une auberge. J'esquissais un sourire gêner et lui dit:

- bon bah c'est pas grave ! je ..je vais retourner au paradis, là bas je pourrais et...

Je ne finit pas ma phrase, fit volte face et me dirigea vers sa fenêtre, j'avais prit cette habitude de passer par là, comme si les porte n'existais pas en enfers.

Je déposais Angie sur la chaise, lui intimant d'aller se reposer, seulement il semblait y avoir un problème :

- euh...oui...mais...y a une auberge dans le coin pour ça ?

Il y avait bien quelques auberge dans le coin mais mieux valais qu'elle évite si elle ne souhaitais pas finir assaillie par un démon.

- bon bah c'est pas grave ! je ..je vais retourner au paradis, là bas je pourrais et...

Elle commença à aller vers la fenêtre. Je fit claquer cette dernière grâce à mes pouvoirs et ouvrit à distance la porte secrète menant à ma modeste chambre.

- C'est pas bien grand mais si ça te convient tu peux t'installer.

Le lit était défait et on pouvait pas dire que ça sente la rose mais bon, c'était chez moi.

Avant même d'avoir pût passer la fenêtre, elle se ferma devant mon nez et une autre s'ouvrit. Cela menait dans la chambre d'Abriel.

- C'est pas bien grand mais si ça te convient tu peux t'installer.

je regardais Abriel et murmura:

- c'est parfait... merci...

Je lui fit un petit sourire puis me dirigea vers sa chambre. Je m'approchais du lit, le fixant, me rappelant cette nuit passer avec lui... Je retirais mes chaussures, mes armes et ma légère tunique, ne gardant que mes sous-vêtements. Je m'allonger doucement sur le lit, me glissant sous la couverture, posant ma tête sur l'oreiller, la délicieuse odeur du démon vint chatouiller mes narines, je fut prise de flash de cette fameuse nuit, mon coeur s'emballa mais très vite, je m'endormit avec la sensation agréable d'être de nouveau dans les bras d'abriel....