Réveil (pv Abriel & angie)

Après l'horrible massacre fait sur terre, j'étais rester plonger dans le coma pendant 3 semaines.Autours de moi tout était noir. je me sentais seule dans les ténèbres, je me croyais morte déjà. effrayer, je pensais rester ici sans avoir pû revoir Abriel et lui dire au revoir...

Lentement, j'ouvris les yeux. Allonger dans un lit, la pièce était plonger dans la pénombre pourtant, un faible halo lumineux éclairais la pièce. Je en savais pas trop où j'étais mais la première chose qui me revint en tête, furent un tas d'images qui me traversait l'esprit. Je revoyais tout se sang, ressentais cette douleur, la peur, la colère.... Je me souvenais de tout. Mes yeux s'agrandirent, remplie de peur puis soudain, je fondit en larmes en poussant un long cri de panique et de tristesse.

Cela faisait maintenant trois longues semaines qu'Angie était plongé dans ce coma. sans doute son âme égarée errait-elle à la recherche de son corps... Et je ne peux rien faire ! Entre temps j'ai acheté un manoir et je m'y suis installé, avec elle. Je m'y suis reclus depuis lors, n'allant plus au bureau, pas la moindre envie. Et c'est encore une journée que je passe à son chevet à espérer.

La faim me tenaille de trop et je finit par la quitter des yeux pour aller essayer d'avaler quelque chose. Alors que j'explore la cuisine en quête de nourriture susceptible de me faire envie, j'entends un long hurlement. Une voix de femme, que je ne connais que trop bien et que je n'ai pas entendu depuis trois semaines !

Mon cœur s'emballe, je laisse tomber ce que j'ai dans les mains et accours dans la chambre pour voir ce qui se passe. J'y trouve Angie, les yeux ouverts -enfin !- et en train de pleurer. Je m'empresse de la prendre dans mes bras pour la rassurer.

- Angie, te revoilà enfin ! Je n'y croyait plus !

La porte s'ouvrit à la volée et Abriel entra. Je levais mon regard vers lui.

- Angie, te revoilà enfin ! Je n'y croyait plus !

Je me remit à pleurer et tendis les bras vers lui, mon visage déformer par la tristesse. Je le serrer contre moi et murmura:

- Abriel...

Mon corps était faible, très faible, si bien que le serrer dans mes bras me demandais un effort inhumain.

- c'était horrible... tout ce qu'ils m'ont fait.... horrible!

Je poussais un nouveau gémissement d'effroi en réalisant une chose...

- le bébé !

je baissais les yeux sur et repoussa le draps. j'était habiller d'une sorte de chemise de nuit noir, je passais une main sur mon ventre me rendant compte de l'horreur qu'étais la réalité:

- ils ont..tuer.. notre bébé...

je regardais Abriel, le visage transit de douleur et de tristesse . Je pouvais croire à une tel chose pourtant, je me souviens encore de cette douleur ignoble au moment où rogers m'avait ouvert le ventre et en avait retirer l'enfant que je portais... l'enfant né de notre amour...

- ils l'ont..tuer...tuer..tuer...tuer...

J'étais dans un état second, mon regard devint vide de toute expression, mes larmes continuais de couler.

Les bras d'Angie tremblaient et je resserrait mon étreinte. Les larmes s'écoulaient sans fin e long de son visage, comme intarissable.

- Abriel...

- Je suis là ma puce...

- c'était horrible... tout ce qu'ils m'ont fait.... horrible!

Je la serrait d'avantage contre moi, conscient de ce qu'elle avait subit. Tout ce temps où elle était dans le coma, je revoyais son corps mutilé dans mes rêves. C'est alors qu'elle poussa un cri plus inquiétant encore...

- le bébé !

J'aurais tellement voulu qu'elle oublie cela...

- ils ont..tuer.. notre bébé... ils l'ont..tuer...tuer..tuer...tuer...

Je continuais de la tenir contre moi, caressant ses cheveux pour tenter de la sortir de son état de choc. Moi aussi cela me rendait malade ce qu'ils avaient fait. Aussi bien à elle qu'à notre enfant. Rien que d'y repenser, j'avais la nausée. J'attendit quelques secondes puis pris son visage dans mes mains, la forçant à plonger ses yeux dans les miens.

- C'est fini Angie, fini. Maintenant il faut oublier...

J'étais bien placé pour savoir à quel point cela était plus difficile à faire qu'à dire.

- Est-ce que tu as soif ?

Cela faisait un moment que son corps n'avait rien ingurgité d'autre que de la potion de rétablissement. C'était la raison de sa faiblesse.

Abriel essayait de me calmer, cela marchais, mes pleurs commencèrent à cesser lentement, je ne lâchais pas Abriel du regard.

- C'est fini Angie, fini. Maintenant il faut oublier...

- je.. je ne peux pas...

Mes larmes coulèrent de nouveau et je dit le regard suppliant:

- c'est trop dure...

Comment exprimer la douleur que je ressentais ? j'avais trouver l'amour de ma vie, j'avais porter son enfant, je ne pouvais m'empêcher d'imaginer ce qu'aurait tété ma vie avec se bébé... j'aurais été combler de bonheur que je pouvoir porter l'enfant d'Abriel et l'élever, lui donner l'amour dont il avait besoin.. et l'on venait de m'arracher tout espoir de pouvoir fonder une famille avec lui...

- Est-ce que tu as soif ?

- oui...

Je baissais les yeux, me rendant compte que j'avais soif mais pas vraiment fin, j'étais rtrop bouleverser pour avaler quelques chose.

Le cœur d'Angie retrouva un rythme a peu près normale, elle se calmait peu à peu, mais la douleur était toujours aussi présente.

- je.. je ne peux pas...c'est trop dure...

Je ne pouvais pas répondre grand chose à cela. J'espérais seulement qu'elle s'en remettrait.

- Je sais...

Lorsque je lui demanda si elle avait soif elle me répondit que oui. Je déposais donc un baiser sur ses lèvres et m'éclipsait quelques secondes pour aller lui chercher un verre d'eau, que je lui mit entre les mains et l'aida à porter à sa bouche. Je me demandais comment ils avaient fait pour réussir à la battre, mais je ne lui demanderait pas, je ne tenait pas à la forcer à parler de tout ça.

- Qu'est-ce que je peux faire pour toi ?

Je sais c'est maladroit, mais je ne voyais pas trop ce que je pouvais lui dire d'autre ou peut-être...

- Je t'aime, je suis fait du soucis pour toi.

Je n'avais jamais prononcé ses mots et cela me fit tout drôle. Je n'aimait pas être direct dans mes sentiments, mais si cela pouvait l'aider à se remettre de la perte de notre enfant, je ferais un effort.

Bien que j'étais terriblement affliger par la situation, je sentais parfaitement ce que ressentais Abriel. j'étais lié à lui, rien ne pourrait changer, pas même la perte d'un enfant...

- Qu'est-ce que je peux faire pour toi ?

Je le regardais, puis but un peu de mon eau avant de la poser sur la table de nuit.

- je veux juste que tu reste avec moi...que tu ne m'abandonne pas...

Abriel me serrais contre lui. Je ne savais pas comment il faisait pour supporter tout cela. Mais je savais que celanous rendrait plus fort et nous permettrais d'affronter les épreuve à veir mais quand même, la perte de notre bébé était un choque pour moi.

- Je t'aime, je suis fait du soucis pour toi.

Je fermais les yeux, sentant mon coeur battre à vive allure, tellement heureuse d'entendre ses mots qui me soulageais.

- pardonne moi... j'aurais dû être plus prudente...

Même encore maintenant, je ne comprenais pas comment j'avais pût tomber dans un tel piège. J'essuyais mes larmes et embrassa Abriel:

- c'est étrange tu sais... les humains n'auraient jamais été capable de concevoir un tel piège tout seuls...et puis comment ont-ils su pour toi et moi ?

Lorsque je lui demandait ce que je pouvais faire pour elle, elle e formula qu'une seule requête. Que je reste auprès d'elle. Elle n'avait pas à s'en faire pour cela !

- Pourquoi est-ce que je t'abandonnerais ? Ne t'inquiète pas je serais toujours la pour toi.

Je pouvais sentir son cœur s'alléger quelque peu lorsque je lui parlai de mes sentiments pour elle. C'était déjà ça.

- pardonne moi... j'aurais dû être plus prudente...

Voilà bien quelque chose que je ne voulais pas entendre ! Comme si c'était sa faute !

- Là je ne t'approuves pas Angie. Ce n'est pas ta faute. Tu es tombé dans un piège, NOUS sommes tombés dans un piège.

Je m'arrêtais un moment puis repris la voix un peu éteinte :

- S'il y a un fautif ici c'est moi. Je ne voulais pas t'envoyer en mission pour cela et j'ai fini par commettre l'erreur de te laisser y aller.

- c'est étrange tu sais... les humains n'auraient jamais été capable de concevoir un tel piège tout seuls...et puis comment ont-ils su pour toi et moi ?

Je réfléchit un instant, ce qu'elle disait n'était pas bête du tout. J'aurais du y penser depuis un moment.

- Oui... je vais faire mener une enquête au sein des enfers. Cela ne eux venir que de la.

L'idée qu'un traître ait pu comploter un tel plan me redonnait l'envie de détruire tous les êtres vivants, quel que soit leur côté. Je reprenais Angie dans mes bras, entremêlant ses doigts avec les miens.

Mes pleurs s'étaient arrêter. Entendre Abriel me parler me faisait du bien, sentir ses mains sur ma peau aussi, son regard me fixer me permettais d'oublier notre enfant, un court moment...

- S'il y a un fautif ici c'est moi. Je ne voulais pas t'envoyer en mission pour cela et j'ai fini par commettre l'erreur de te laisser y aller.

je secouais la tête et murmura en caressant son visage:

- non...Non c'est faux !tu n'y es pour rien.. les véritable fautifs sont ses humains qui mon châtié !

Je fixait mon amant, posant mes lèvres sur les siennes avec douceur. Suite à cela, Abriel fit d'accord avec moi, qu'il y avait encore des traîtres au seins de l'enfers.

- Oui... je vais faire mener une enquête au sein des enfers. Cela ne peux venir que de la.

- fait tout de même attention...d'accord ?

Je le suppliais du regard, je refusais qu'il lui arrive malheur, j'avais perdu notre enfant, je ne voulais pas le perdre lui aussi.

- Abriel... tu as l'air épuiser... depuis combien de temps n'as -tu pas fermer l'oeil ?

J'étais terriblement inquiète, d'autant que je ne savait pas que j'étais rester dans le coma pendant 3 semaines, pour moi, cela faisait tout juste 2 ou 3 jours...

Angie finit par rejeter la faute sur les humains. Du moment qu'elle ne se tenait pas elle pour responsable, ça m'allait. Je ne voulais surtout pas qu'elle culpabilise. Elle m'embrassa et je lui rendit son baiser avec douceur mais il fallait qu'elle prenne des forces. Son corps était amaigris par tout ce temps de jeune et ses muscles devaient s'être atrophiés. Elle trouva tout de même de m'intimer la prudence lorsque je lui parlait d'une enquête dans le royaume.

- Ne t'en fait pas pour ça.

- Abriel... tu as l'air épuiser... depuis combien de temps n'as -tu pas fermer l'oeil ?

- Quelques heures mais ça va ne t'en fait pas, je n'ai pas le temps de dormir de toute façon. Je vais attendre que tu reprennes des forces et ensuite j'irai au bureau, mener mon enquête par moi, même. C'est le meilleur moyen afin de ne pas me faire tromper de nouveau.

Je la forçait à boire encore, elle devait reprendre des forces. Je me levais ensuite.

- Tu veux manger quelque chose ? Tu en as besoin.

- Quelques heures mais ça va ne t'en fait pas, je n'ai pas le temps de dormir de toute façon. Je vais attendre que tu reprennes des forces et ensuite j'irai au bureau, mener mon enquête par moi, même. C'est le meilleur moyen afin de ne pas me faire tromper de nouveau.

ça...c'est le genre de réponse dont j'ai horreur. je savait qu'Abriel ne me disait pas la vérité mais je n'insistais pas.

- Tu veux manger quelque chose ? Tu en as besoin.

je passais une main sur mon estomac et répondit:

- oui... je veux quelque chose de bien gros, bien gras, et autre chose bien sucré !!!

Je me stoppais, plissant les yeux, regardant autours de moi et demanda:

- Abriel...ou est-ce.. qu'on est ?

Je le regardais étonner, lui avait acheter se manoir pendant mon coma.

- et puis... combien de temps suis-je rester inconsciente ?

Malgré le regard suspicieux et quelque peu boudeur que ma lança Angie quand je répondit à sa question, elle avait retrouvé l'appétit et c'est déjà très bien !

- oui... je veux quelque chose de bien gros, bien gras, et autre chose bien sucré !!!

Je laissait échapper un petit rire puis lui dit :

- D'accord, on va voir ce que l'on peux faire pour toi.

Puis son regard se hasarda à explorer les lieux qui l'entourait.

- Abriel...ou est-ce.. qu'on est ?

- Chez nous. C'est notre manoir. C'est tout de même plus spacieux que ma chambre derrière mon bureau non ?

- et puis... combien de temps suis-je rester inconsciente ?

Voilà une question qui me mettait mal à l'aise mais je répondit tout de même, bien qu'à voix basse.

- Trois semaines ma puce.

Cela était bête, mais j'aurais préféré éviter cette question.

- Tu peux te lever ?

Si elle ne pouvait pas marcher, ce ne serait pas un problème, je l'emmènerait moi même s'installer dans la cuisine mais cela serait signe que son corps est très faible et j'aimerais qu'ele reprenne vite des forces et retrouve le moral.

- Chez nous. C'est notre manoir. C'est tout de même plus spacieux que ma chambre derrière mon bureau non ?

- chez ... nous ?

Mon coeur se souleva de bonheur.

- vraiment ? on est ..chez nous ???

J'esquissais un sourire tendre, nous allions enfin partager une vrai vie ensemble. Chaque nuit je dormirait avec lui, nos moments de libre nous les passerions ensemble ici.. c'était si merveilleux. Abriel semblait un peu plus gêner quand à ma question suivante et il me répondit:

- Trois semaines ma puce.

Je le regardais bouche bée, à moitié paniquer.

- quoi? autant de temps ?

Et je réalisais que ce n'était pas quelques heures de sommeil qu'il avait louper, mais des semaines.

- oh..Abriel... ne me dit que tu as... enfin... pendant tout se temps ?

Bon, tant pis, ce n'était pas la peine d'insister, se qui est fait est fait...

- Tu peux te lever ?

Je sourit et repoussa le draps puis posa mes pied au sol et voulu me lever. Mes jambes tremblèrent, incapable de soutenir mon poids et je m'écroulais au sol, ma tête heurtant la table de nuit, je grimaçais de douleur.

Angie était ravie d'apprendre que cet endroit était en fait notre petit nids d'amour et je fut ravie de la voir sourire. Tant que je resterais avec elle, j'arriverais peut-être à lui faire oublier notre enfant.

- quoi? autant de temps ? oh..Abriel... ne me dit que tu as... enfin... pendant tout se temps ?

- Non, j'ai dormi un peu quand même mais mes nuits étaient trop agitées. De toute façon j'ai l'habitude de peu dormir avec le travail.

Angie tenta de se lever mais ses jambes lâchèrent et elle s'effondra, heurtant la table de nuit au passage. Je la relevais avec une grimace et la prenait dans mes bras.

- Pas grave, je vais t'emmener dans la cuisine.

Nous descendions donc les escaliers puis je l'installais sur une chaise. Claquant des doigts je faisait apparaitre une assiettes avec du poulet rôti et des frites encore fumantes.

- Je suis pas un cordon bleu, alors j'espère que ça te suffira.

Je la laissait commencer à manger avant de lui faire une révélation qui pour elle serait des plus inattendues. Je m'assit en face d'elle pour le lui dire :

- Angie, il faut que tu saches que si tu es encore en vie, c'est grâce à Morgane. Plus précisément au pouvoir de sa rose. Cette dernière peux sauver une personne qu'elle aime plus que tout une fois durant son existence. Et cette personne qu'elle a sauvé c'est toi.

Je fut rassurer de savoir qu'Abriel avait tout de même dormit un peu. Une fois au sol, il me porta dans ses bras et m'emmena dans notre cuisine. Il m'assis sur une chaise et fit appraitre un bon plat fumant dont l'odeur me mit l'eau à la bouche:

- Je suis pas un cordon bleu, alors j'espère que ça te suffira.

- ne t'en fait pas pour ça ! c'est parfait !

Je fiais le plat avec envie puis prit la cuisse de poulet entre mes doigts tremblant et mordit dedans à pleine dents.

- Angie, il faut que tu saches que si tu es encore en vie, c'est grâce à Morgane. Plus précisément au pouvoir de sa rose. Cette dernière peux sauver une personne qu'elle aime plus que tout une fois durant son existence. Et cette personne qu'elle a sauvé c'est toi.

Je posais la cuisse de poulet dans l'assiette, baissant les yeux et murmura:

- je sais... les sentiments de morgane à mon égard...

je regardais Abriel et ajouta:

- elle me l'avait avouer il y a un petit moment déjà... j'étais plutôt étonner parce que j'ai toujours cru qu'elle était amoureuse de toi... mais je m'était tromper et depuis tout se temps je n'avais jamais compris...

je détournais légèrement le regard et murmura:

- tu as fait quelque chose pour la remercié de m'avoir...sauver ?

Cela me fit plaisir que le plat lui plaise, au moins elle mangerait de bon cœur. Cependant, elle s'arrêta de manger lorsque je lui parlai de Morgane.

- je sais... les sentiments de morgane à mon égard... elle me l'avait avouer il y a un petit moment déjà... j'étais plutôt étonner parce que j'ai toujours cru qu'elle était amoureuse de toi... mais je m'était tromper et depuis tout se temps je n'avais jamais compris...tu as fait quelque chose pour la remercié de m'avoir...sauver ?

Ainsi elle savait pour ce qu'éprouvait Morgane. C'était peut-être mieux ainsi.

- Non je n'ai rien fait car je ne sais pas quoi faire...

Ce n'était pas très glorieux mais je ne voyais pas vraiment ce que je pouvais faire pour la remercier. Et même si c'était égoïste, pour le moment ma priorité était le rétablissement d'Angie.

- J'ai pensé lui faire forger une nouvelle lame mais je ne sais pas encore par qui.

Je marquais une pause, attendant qu'Angie mange une bonne partie de son assiettes.

- Demande moi ce que tu veux en dessert.

Je me remit à manger, me jetant sur la viande que j'engloutissais rapidement, m'attaquant ensuite au frites. j'étais morte de faim et cela se voyais.

- J'ai pensé lui faire forger une nouvelle lame mais je ne sais pas encore par qui.

- c'est une très bonne idée !

Je but un peu d'eau et lui dit:

- moi je connais un bon forgerons chez les elfes... il est neutre alors il ne pourras pas refuser de forger une une épée, surtout si tu le paye bien !

je me mit à rire car c'est se même homme qui avait forger mon épée... ma robuste épée.. celle qui faisait trois fois la taille d'une épée normale adaptée spécialement à ma force et mon agilité, deux chose qui chez moi était bien supérieur à un simple humain ce qui en étonnait plus d'un surtout quand l'on sait que la lame de mon épée à elle seule pèse déjà 55 KG et que le manche en fait 17... bref...

- Demande moi ce que tu veux en dessert.

je sourit à Abriel, terminant mon assiette de frites et lui répondit:

- n'importe quoi tant que c'est sucré!!!!

je me remit à sourire et ajouta:

- ensuite j'aimerais aller me reposer encore un peu s'il te plait...

Angie ne mangeait pas, elle engloutissait. Tant mieux, cela me rassurait. Elle approuva l'idée de lui faire forger une épée.

- moi je connais un bon forgerons chez les elfes... il est neutre alors il ne pourras pas refuser de forger une une épée, surtout si tu le paye bien !

- L'argent n'est pas un problème.

Pour la question du dessert, Angie ne fit pas la difficile :

- n'importe quoi tant que c'est sucré!!!!

Je cherchais un moment un dessert fort sucré, puis il m'en vint un à l'esprit. Je fit apparaître à côté d'elle un petit tas de meringues, ne sachant pas la quantité qu'elle engloutirait.

- ensuite j'aimerais aller me reposer encore un peu s'il te plait...

- Bien sûr pas de soucis.

A peine eut-je prononcés ces mots que l'on sonnât à la porte. J'ouvrit et tomba nez à nez avec un messagers des enfers.

Maître, on m'a chargé de vous informer que Morgane à capturer un démon traître qui à des informations à vous révéler sur l'identité de la personne ayant organisé le piège destiné à vous atteindre Angie et vous. Ils sont au département des tortures.

- Merci, je vais y aller.

Je refermais soigneusement la porte et me rassit en face d'Angie la mine sombre.

- Quand tu seras couchée je devrais te laisse un peu, j'ai quelques petites choses à aller vérifier.

Quand Abriel fit apparaitre un tas de meringue sous mon nez, je poussais un petit cri de joie avec un regard pétillant et un sourire jusqu'au oreilles.

- j'adore les meringues !!!!!

Je prit une et l'engloutissais comme mon assiette de frites. Parfois je me demandais comment je faisais pour garder un corps si parfait avec tout ce que je mangeais... les combats sans doute. Quelqu'un sonna à la porte, Abriel partis ouvrir. J'entendis tout ce qui s'était dit. je baissais les yeux alors que mon amant revins la mine sombre.

- Quand tu seras couchée je devrais te laisse un peu, j'ai quelques petites choses à aller vérifier.

- d'accord... sois prudent.

Je fit un petit sourire forcer. En moins de quelques minutes, j'avais terminer l'assiette de meringues. je sourit à Abriel et lui dit:

- j'ai bien manger ! merci !

je tendis les bras vers lui pour qu'il l'enlace et me ramène à notre chambre que je puisse me reposer.

Elle adorait les meringues ? Ouf ! J'avais eut de la chance ! Je la regardais finir ses meringues. J'étais si heureux de la revoir revenu à elle ! Malheureusement, j'allais devoir m'absenter... enfin si cela été pour châtier le responsable de tout cela, j'y allais volontiers !

- d'accord... sois prudent. j'ai bien manger ! merci !

Je déposais u baiser sur ses lèvres sucrées puis la prit dans mes bras pour la ramener à son lit.

- Si tu n'étais pas dans cet était, je te mangerais tout cru !

Je n'étais pas à l'aise à l'idée de devoir la laisser mais il le fallait. Je la déposais dans le lit et m'assit à côté d'elle, prenant sa main dans la mienne.

- Tout va s'arranger. Je te le promet.

Abriel me porte et me déposa dans notre lit. je lui sourit puis me couvrit à l'aide de la couverture.

- Si tu n'étais pas dans cet état, je te mangerais tout cru !

je me mit à rigoler les yeux pétillant et embrassa Abriel langoureusement.

- ne t'inquiète pas... quand j'irais mieux tu pourras profiter de mon corps comme bon te sembleras mon amour...

Je caressais sa joue, il s'installa à mes côté et me dit en serrant ma main dans la sienne:

- Tout va s'arranger. Je te le promet.

Je fit un léger signe de tête t chuchota:

- je le sais... je te fait confiance !

je l'embrassais au coin des lèvres et murmura:

- aller! file... tu as du travail qui t'attend !

Elle m'assura que je pourrais faire ce que je voulais de son corps quand elle irait mieux. Cela me fit sourire puis elle m'encouragea à partir. Je m'éclipsais donc jusque là où je devais me rendre.


Une fois sur place, on m'annonça que le démon en question était mort. Méfiant, j'allais vérifier par moi même. On m'apprit ainsi que celui qui avait comploté tout cela était un démon de mon armée. Je pris note du nom puis retourna au manoir, je n'avais plus rien à faire ici.


A mon retour, Angie dormait à poings fermés. Je m'installai à ses côtés sans faire de bruit, repensant à tous les évènements de ces derniers temps. Elle se réveilla en fin d'après midi :

- Tu as bien dormi ma puce ?

Je m'endormis rapidement, bine qu'ayant dormit trois semaines, je me sentais terriblement épuiser. Se fut un sommeil sans rêve, je me sentais calme et reposer. J'aurais aimer que se soit toujours ainsi... J'ouvris les yeux lentement et vit le visage d'Abriel pencher au dessus du mien.

- Tu as bien dormi ma puce ?

je sourt et caressa sa joue, mes doigts glissant dans ses longs cheveux fin et murmura:

- oui... mais cela aurait été mieux si tu avais été là...

J'approchais mon visage et déposa mes lèvres sur les siennes avec tendresse.

Angie se réveilla doucement, elle semblait assez détendu ce qui me rassura. Je la laissait se réveiller à son rythme, l'interrogeant sur la qualité de son sommeil :

- oui... mais cela aurait été mieux si tu avais été là...

Sa main vint caresser ma joue puis me perdre dans mes cheveux en batailles. Ce contact était si agréable, cela faisait déjà plus de trois semaines que je ne l'avais pas ressenti et pendant un long moment j'ai cru que je ne le ressentirais plus jamais. Je prit sa main dans la mienne et elle m'embrassa. Je l'aidais à se relever, prolongeant se tendre baiser.

- Tu as encore faim ?

Je n'étais pas vraiment pressé de lui parler de ce que j'avais appris, surtout du fait que le démon ayant transmis l'information soit mort, ce qui me contrariait grandement. J'aurais aimé le tuer de mes propres mains après m'être assuré moi même qu'il ne nous cachait rien d'autre...

Je pouvais sentir le plaisir que ressentait Abriel sous mes caresses. IL me releva tout en prolongeant le baiser, me faisant rougir. Personne ne m'avait fait tant d'effet par les baiser.

- Tu as encore faim ?

Je le regardais, souriant et répondit:

- non...

Mes doigts glissèrent sur ses lèvres puis sont menton, je fixait ses prunelle et chuchota:

- je veux prendre un bain...

Je sentais aussi qu'Abriel était contrarier, je n'en connaissais pas la raison et préférais éviter le sujet, faisait comme si de rien n'était. Je l'embrassais encore, glissant la langue entre ses lèvres pour aller caresser la sienne, soupirnat d'envie à se contacte sensuel.