Douce nuit... (pv Maitre du mal & angie)

Après mon dernier échec d'y il a deux jours, j'étais folle de rage. je pensais sans arrête à Abriel... j'étais hanter par son visage souriant sournoisement, se moquant ouvertement de moi. J'étais si torturer en mon être intérieur, que je décidais de retenter ma chance, en plus, il ne s'attend pas à me revoir si vite... Je me remit en route pour les enfers, reprenant le même chemin que la dernière fois. Une fois face au grand bâtiment de la demeure d' Abriel, je lévitais face la fenêtre de son bureau. Tiens... elle est entrebâillée..vu la chaleur qu'il fait, pas étonnant. je repousse doucement la fenêtre et entre dans le bureau en douceur et me dirigea vers la chambre de maitre du mal. J'ouvris la porte silencieusement et approcha de son lit. IL était là, torse nue, à dormir paisiblement. En voyant l'expression de son visage, il était difficile de croire qu'il était diabolique, il semblait si calme, si détendu... rien à voir quand il éveiller. Je glisse une main derrière mon dors et son une dague, je m'approche encore, levant la lame au dessus de ma tête, prête à le frapper en plein coeur mais soudain...

J'avais encore eu une dure journée, alors pour me changer les idées, je fixais les quelques taches de sang sur le mur, la ou c'était trouvé Angie deux jours auparavant. La journée ayant été si éreintante que je m'amusait beaucoup à me remémorer les bon vieux moments passés en salle de torture à lui faire comprendre sa douleur. Bref je décidais de me coucher tôt.

Il faisait si chaud dans la pièce que je laissais la fenêtre ouverte. On avait beau être en Enfer, il y avait des limites au supportable, même pour moi. J'avais besoin d'air. Je me débarrassais donc de ma chemise et m'étendit dans mon lit. Pas avec l'intention de dormir tout de suite mais de faire une pause. Je m'assoupis tout de même.

Je sentis une présence s'approcher, quelqu'un était dans mon bureau. C'était Angie. Décidément, elle était vraiment bornée. Je fit semblant de dormir, ainsi je pourras m'amuser. Effectuant une sortie astrale brève, je put constater qu'elle était encore habillé assez légèrement. Je réintégrais mon corps dont elle s'approchait, et au moment où elle allait frapper de sa dague, je lui attrapait le poignet, puis ouvrit les yeux.

- Angie... Tu ne peux plus te passer de moi on dirait.

Je lui souriait puis l'attirait contre moi, transformant sa dague en une fleur fanée.

- Raconte à tonton Abriel... qu'est-ce qui t'arrive encore.

J'aimais jouer le gentil méchant, ainsi elle e pouvait pas savoir à quoi s'attendre, et c'est ça qui était amusant.

Je sursautais quand Abriel saisit mon poignet et ouvrit les yeux. je le regardais paniquer, j'étais cuite.

- Angie... Tu ne peux plus te passer de moi on dirait.

je le suppliais du regard, la dague dans ma main devint une fleur, sublime qui fana par la suite. je la fixais intensément car bien que faner, j'y trouvais une chose belle et magnifique à cette fleur. Je relâchais un peu mon emprise dessus, comme pour ne pas l'abimer...

- Raconte à tonton Abriel... qu'est-ce qui t'arrive encore.

je regardais Abriel, à mon habitude, j'aurais rétorquer froidement mais là...

- je...

je baissais les yeux et murmura tristement:

- Abriel... je ne sais plus...quoi faire.

Je m'entendais à entendre la jeune fille répliquer de sa voie cinglante, au lieu de ça elle cessa de résister à ma main qui lui enserrait le poignet et se fit incroyablement docile. J'étais très étonné.

- je...Abriel... je ne sais plus...quoi faire.

Je ne comprenait pas où elle voulait en venir mais je compris qu'elle commençait à prendre conscience de sa position, du moins pour cette fois. J'abaissais le bras sans pour autant lui lâcher le poignet et je le laissa retomber le long de mon corps.

- Comment ça tu ne sais plus quoi faire ?

Je la fit s'assoir sur sur le lit, profitant de mon emprise sur elle, toujours en tenant son poignet pour qu'elle comprenne qu'elle n'a pas le contrôle d la situation.

Abriel semblait tout aussi étonner que moi. J'étais perdu. Son emprise sur mon bras se fit plus douce, voir... agréable.

- Comment ça tu ne sais plus quoi faire ?

je baissais de nouveau les yeux et lui expliqua avec douceur, sans m'énerver.

- tu es la personne que je hait le plus en cette terre...

de ma main libre, je saisit la fleur faner et la fit tourner entre mes doigts puis continua:

- mais... dès que je sis trop loin des enfer... je suis hanter par ton visage...

je doigts se mirent à trembler, faisant trembler les épales de la fleur donc quelques unes tombèrent sur le draps.

- je me sent mal en ta présence..à cause de la peur et de la douleur que tu fait naitre en moi.....

la fleur se recouvrit de givre lentement, je plongeais mes yeux embuer de larmes dans ceux du démon et chuchota, la voix triste et suppliante:

- c'est encore pire... quand tu n'es pas à mes côtés....

Elle n'osait même pas croiser mon regard c'était à peine croyable. Elle s'expliqua alors dans un murmure.

- tu es la personne que je hait le plus en cette terre...mais... dès que je sis trop loin des enfer... je suis hanter par ton visage...je me sent mal quand... en ta présence..à cause de la peur et de la douleur que tu fait naitre en moi.....c'est encore pire... quand tu n'es pas à mes côtés....

Je la prit dans mes bras, son dos contre mon torse nu. Je voyais là une belle occasion de profiter d'elle tant qu'elle ne savait pas où elle en était. Mais avant ça, une question me démangeais. Je plaçai ma tête sur son épaule, comme pour la rassurer et lui murmura à l'oreille :

- Si tu tiens tant à moi... Pourquoi passes-tu ton temps à tenter de me tuer ?

Abriel me serra contre lui..à nouveau cette douceur... comment un être aussi ignoble que lui pouvait être capable d'offrir cela à quelqu'un ? le faisait -il souvent avec d'autre ? avec les jumelles sans doute...cette idée me donnais la nausée. Je me détendis aussitôt une fois contre lui. Là encore, je savais qu'ils e jouait de moi, mais j'étais si bien que je n'avais pas le courage de le repousser, je voulais encore profiter de la chaleur de son corps, la douceur de ses geste, sa voix sensuel à mon oreille...

- Si tu tiens tant à moi... Pourquoi passes-tu ton temps à tenter de me tuer ?

- parce que je ne suis pas comme toi Abriel... tu m'as fait trop de mal... tu me fait tant souffrir...

Je fermais les yeux, essayant de calmer les battements de mon coeur.

- c'est tellement... Illogique...comment peut-on tenir à quelqu'un qui nous fait souffrir...quelqu'un qui nous hais ?

Je sentis les muscles de la jeune fille se décontracter mais son cœur s'accélérer.

- parce que je ne suis pas comme toi Abriel... tu m'as fait trop de mal... tu me fait tant souffrir...c'est tellement... Illogique...comment peut-on tenir à quelqu'un qui nous fait souffrir...quelqu'un qui nous hais ?

Je plaçais ma main gauche sur sa poitrine, à l'emplacement de son coeur, l'obligeant à ralentir.

- Peut-être parce que je suis tout ce qui te reste de ton ancien monde, que je t'ai en quelque sorte adoptée après votre chute, que je t'ai fait une place dans mes armées. Je ne te hais pas Angie...

Avec le temps j'avais appris à la rendre inoffensive par la parole. Ma main qui était sur son cœur remonta pour caresser sa gorge, lui montrer quelle était à moi, qu'elle me devait tout.

Mon coeur ralentit quand il posa sa main sur ma poitrine, je me calmais, je me sentais un peu mieux.

- Peut-être parce que je suis tout ce qui te reste de ton ancien monde, que je t'ai en quelque sorte adoptée après votre chute, que je t'ai fait une place dans mes armées. Je ne te hais pas Angie...

J'ouvris les yeux et tourna doucement la tête vers lui, sa main caressais ma gorge et je murmurais

- tu ne me... hait...pas ?

Le pire, c'est que ses mots était véridique, il 'avais fait souffrir, mais il m'avait tant donner aussi... Mon coeur s'emballât de nouveau, je sentit une larme couler sur ma joue, une seule et je chuchotais:

- pourtant tu as toute les raisons du monde pour me détester...

je restais là à le fixer, toujours blottit contre lui, tout était calme et reposant... Oui, j'étais tellement bien que j'en venais à douter de moi, savoir si finalement, j'avais fait le bon choix en ayant prit la fuite, je me demandais si je n'aurais pas dû rester... dans un sens, je me sentais honteuse de penser cela, mais voir les yeux d'Abriel braquer ainsi sur moi me faisait réfléchir.

- pourquoi est-ce que c'est si dur à supporter ?

Je sentis une nouvelles larmes couler et j'ajoutais en caressant sa joue:

- j'ai tellement envie de rester avec toi...mais je ne peux pas...

La voix d'Angie diminua encore de volume mais je pouvais l'entendre parfaitement.

- tu ne me... hait...pas ?

- Pourquoi le ferais-je ? Tu n'as fait qu'obéir aux ordres de ton ancien maître, tout comme le font les deux jumelles avec moi.

- pourtant tu as toute les raisons du monde pour me détester...

- Tu as faillit tuer les jumelles par le passé, c'est elles qui te haïssent. Ce sont des pions pour moi et elle le savent.

- pourquoi est-ce que c'est si dur à supporter ?

- Je suis comme ça, ton ancien maitre m'a rendu ainsi.

- j'ai tellement envie de rester avec toi...mais je ne peux pas...

Cette fois je ne dit rien me contentant d'essuyer ses larmes. Enfin je me décidais à parler de nouveaux.

- Si ton ancien maître ne m'avait pas rendu comme ça, tout serait différent pour tout le monde.

Il ne m'en voulait pas, il trouvait même un prétexte à mes erreurs passer... Je posais mon visage sur son épaules, parler avec lui me faisait du bien, je me soulageait ainsi mais ce qui était étrange, c'est que n'arrivait à parler aussi librement qu'avec Abriel et il était toujours le seul à m'écouter... sans rien demander en retour. Il essuya mes larmes, je levais une main pour caresser la sienne.

- Si ton ancien maître ne m'avait pas rendu comme ça, tout serait différent pour tout le monde.

- je sais Abriel... je sais... murais-je avec douceur.

J'en voulais aussi à mon ancien maître pour qu'il avait fait à Abriel. j'avais du mal à pardonner... mais Abriel... je l'aimais si fort... que cela en devenait maladif.

- Abriel...

J'entrelaçais mes doigts avec les siens, serrant sa main doucement, je le regardais et murmura avec douceur, tendresse et sincérité:

- merci de m'avoir écouter... merci... du fonc du coeur.

En écoutant ses pesées, je vis que j'avais réussi à semer le doute dans son esprit vis à vis de son affection pour son ancien maître. J'étais content de moi.

- Abriel... merci de m'avoir écouter... merci... du fonc du coeur.

Sa main vint rejoindre la mien et j'avais la confirmation que je pourrais faire d'elle ce que je veux cette nuit.

- Tu as besoin de te changer les idées.

Je me reculais et l'attirais de nouveau vers moi pour que ses jambes ne pendent plus dans le vide et soient sur le lit. Elle était encore couverte des croutes et cicatrice d'il y a deux jours. Je ne voulais pas de ça cette nuit. Je fis donc apparaître une fiole contenant un liquide couleur émeraude.

- Bois ça, ça effacera tes cicatrices et finiras de guérir tes blessures.

Je portais la fiole à sa bouche, une main sur sa gorge pour m'assurer qu'elle boive.

- Tu as besoin de te changer les idées.

J'esquissais un fin sourire et fit un signe de tête positif. Abriel me tira un peu plus contre lui, j'étais sur le lit, blottit contre lui. IL fit apparaitre une fiole avec un liquide que je connaissait bien pour en avoir but des tas pour me guérir des tortures que m'avait infliger Abriel.

- Bois ça, ça effacera tes cicatrices et finiras de guérir tes blessures.

Il approcha la fiole de mes lèvres, son autre main sur ma gorge. J'entrouvris la bouche posant mes mains sur celle d'Abriel qui tenait la fiole et ainsi déverser la potion dans ma bouche que j'avalais immédiatement. Rapidement, mes plaies disparut, je retrouvais une peau douce et fine puis fixa Abriel dans les yeux. je lâchais la fiole sur le sol sans y prêter attention et embrassa le démon tendrement. Depuis le temps que j'attendais ça... je ne m'en privais pas. Mon coeur se mit à battre à une vitesse folle dans ma poitrine, passant mes bras autours de son cou, je prolongeais le baiser un peu plus.

Comme je m'y attendait, elle but le contenu de la fiole sans faire d'histoire avant de laisser cette dernière se briser sur le sol. Je claquais des doigts et les morceaux de verres brisés disparurent. Aussitôt Angie se tourna vers moi et m'embrassa. J'avais gagné elle était à moi de son plein gré. Je lui rendit son baiser, posant ma main sur sa jambe repliée. J'utilisais mes pouvoirs pour à nouveaux calmer les battements de son cœur puis diffuser une chaleur agréable par mes mains.

- Tu vois quand tu es sage, je n'ai pas de raison de te faire mal.

Mon autre main alla se perdre dans sa longue chevelure. Il fallait qu'elle comprenne que si je savais punir, je savais également récompenser.

Abriel se laissais embrasser, participant lui aussi au baiser. je sentit sa main sur ma cuisse, la caressant doucement, sentant une douce chaleur s'en échapper, son autre main dans mes cheveux... je me mit à rougir, faiblement certes, mais rougir quand même.

- Tu vois quand tu es sage, je n'ai pas de raison de te faire mal.

je le regardais, baissant les yeux et fit un vague signe de tête. J'avais l'impression d'être une enfant à qui l'on faisait une leçon de morale mais tout de même , cela avait ses avantages. Je regardais de nouveau Abriel et approcha de nouveau mon visage, je voulais encore sentir ses lèvres sur les siennes, qu'il me caresse encore....

- Abriel... je veux rester avec toi cette nuit...

Je le regardais à nouveau, le suppliant du regard et murmura:

- s'il te plait...rien que cette nuit....

La jeune fille prenait gout au baiser et en demandait d'avantage.

- Abriel... je veux rester avec toi cette nuit...s'il te plait...rien que cette nuit....

Je plantais mes yeux dans les siens, un sourire en coin en bord des lèvres.

- Puisque tu es sage tu peux rester.

Je la dévorais du regard avant d'ajouter :

- A la condition que tu soit toute à moi cette nuit.

Bien sûr son accord ne faisait pas grande différence puisque je faisais toujours ce que je voulais d'elle, c'était uniquement pour lui faire savoir implicitement ce que je voulais. Sans même attendre sa réponse, mes lèvres vinrent se coller à son cou.

J'espérais qu'il accepterais même si au fond de moi, je savais la réponse.

- Puisque tu es sage tu peux rester.

Je fit le même sourire en coin que lui fit. Son regard était profond, intense.

- A la condition que tu soit toute à moi cette nuit.

IL approcha ses lèvre est les déposa sur mon cou, embrassant ma peau. Je fermais les yeux, frissonnante de palsiir et murmura:

- alors je serais entièrement à toi cette nuit... corps... et âme.

Mon corps brûlait de désir pour lui, j'avais attendu cela depuis des années déjà. Je prit le visage d'Abriel entre mes mains et l'embrassa de nouveau, langoureusement cette fois. Je voulais qu'il me désir comme je le désirais, je voulais toutes ses pensées soit envahir par mon visage, comme je l'était avec le sien. Je voulais lui appartenir cette nuit, lui montrait...combien je l'aime.

Je la sentais frissonner contre moi et cette sensation de puissance, de pouvoir m'envahit de nouveau, éveillant d'avantage mes sens. ses lèvres vinrent retrouver les miennes et nos langues entremêlées entamèrent une dense sans fin. Je défit de mes mains le ha léger qu'elle portait, laissant apparaître sa poitrine encore dissimulée sous son soutient gorge et laissa mes doigts courir entre le tissus et sa peau.

Décollant mes lèvres des siennes, je lui soufflait au creux de l'oreille :

- Ne te crois pas sortie d'affaire Angie, une fois encore tu me suppliera. Il n'y aura que les raisons qui changeront.

Ses quelques mots murmurés je l'embrassait de nouveau.

Abriel commença à me déshabiller, je sentais ses doigts parcourir ma peau, m'arrachant de nouveau frisson, j'étais dévoré par l'envie, je voulais qu'il me prenne comme jamais il n'avais prit une femme.

- Ne te crois pas sortie d'affaire Angie, une fois encore tu me suppliera. Il n'y aura que les raisons qui changeront.

Je le regardais, ne disant aucun mot, se n'était pas nécessaire. Je rougis un peu plus alors qu'il m'embrassa encore. Je me laissais aller, je voulais tout lui donner cette nuit, m'offrir totalement à lui. Abriel avait beau être un sadique, sournois et monstrueux...Lui aussi j'avais le droit de recevoir de l'amour et moi..J'étais prête à lui en donner et je châtierais tout ceux qui penserons le contraire. je laissais mes lèvres glisser sur son cou, mes mains caressant son corps avec douceur.

A mon grand étonnement, Angie ne répondit rien. Cela n'avait pas d'importance. Ses lèvres s'éloignèrent des mienne pour aller chatouiller mon cou tandis que ses mains se jouaient de ma peau brulante. Les mienne partirent batailler avec les agrafes de son soutient-gorge, afin de la libérer de ce tissu selon moi inutile. Cette mission réussie, mes mains partirent à l'assaut des autres morceau de tissu que portaient Angie.

- Te voilà mieux sans out cela.

Je l'allongeais ensuite dans mon lit, brulant de désir pour elle, l'embrassant de nouveaux pendant que l'une de mes mains caressait sa poitrine mise ne quelques instants auparavant.

Abriel prit plaisir à continuer de me déshabiller. je sourit alors qu'il m'allongeait sur son lit.

- Te voilà mieux sans tout cela.

je me mit à rire, le regard pétillant de joie, ce qui était rare, même Abriel le savait. Il me connaissait mieux que personne. J'étais totalement nue et ne faisait pas preuve de pudisme face à Abriel. je voulais qu'il profite au maximum de la vue qu'il avait. Je l'embrassais encore, sans jamais m'en lasser. J'étais déjà très excité, je voulais le sentir en moi,mais je voulais aussi faire du ré le plaisir, que nous prenions notre temps pour faire cela. Je lui retirais à mon tours e peu de tissus qui le couvrais et le jeta plus loin dans la pièce avant de l'embrasser à nouveau.

Pour la première fois je la vit réellement rire ! a seule fois ou je l'avais vu réellement rire , j'étais dans mes bureaux et on m'informait qu'elle avait gravement blessé les deux jumelles. J'avais même cru qu'elles ne survivraient pas.

Ce fut au tour d'Angie de me débarrasser des vêtements qui m'encombraient. Je la laissait faire puis le baiser reprit. Moi aussi je voulais prendre mon temps avec elle et je lui réservait un surprise bien à moi. D'une main je lui effleurait le ventre puis les cuisse et de l'autre je claquais des doigts [genre Joséphine XD] et les yeux de la jeune fille se retrouvèrent aussitôt couvert par une sorte de foulard. C'était bien connu : privez un corps de l'un de ses sens et tous les autres s'en trouveront accrus.

Je n'allait pas l'attacher non plus, je ne voudrais pas que cela lui fasse remonter de mauvais souvenirs et qu'elle se mette à pleurer.

[tu joue les ange gardien maintenant ? XD]


Ma main remonta dans les longs cheveux noir d'Abriel, mes lèvres toujours occuper avec les siennes. Nous nous regardions un instant puis d'un claquement de doigts, il fit apparaitre un foulard sur mes yeux.

- Abriel ?!

Je voulu me redresser, étonner mais je reçus un nouveau baiser. Aussitôt je me détendit et me laisser guider par sa douceur, m'allongeant de nouveau sur le lit douillet et confortable. J'esquissais un sourire, comprenant un peu mieux le but du foulard alors que je me laissais bercer par sa respiration, ses caresses, son odeur... Tout me paraissais plus beau. je tendit une main face à moi, sentant le visage d'abriel sous mes doigts, je le caressais doucement, redessinant les contours de son visage, un petit sourire de bien être aux lèvres:

- tu es...si beau...

Lorsque j'utilisais mes pouvoirs pour faire apparaitre un bandeau sur ses yeux, elle se redressa brusquement. Je l'empêchais de se lever en faisant barrage avec ma main, recalmant son cœur qui venait de s'emblaller. Sa main vint ensuite se promener dans mes cheveux, défaisant les mèches qui se trouvaient calées derrières mes oreilles et qui lui tombèrent sur le visage. Alors que je l'embrassais, elle regarda mon visage de ses mains [bon ok ça se dit pas mais on dit bien touche avec les yeux, regarde avec les mains lol].

- tu es...si beau...

- Difficile à dire alors que tu ne peux pas voir, si ça se trouve j'ai repris mon apparence de démon...

Je me disais surtout qu'elle se fiait aux apparences... ou qu'elle avait complètement perdu l'esprit !

- Et toi ta beauté relève du diabolisme, ça devrait pas être permis ça.

Je lui caressais la joue tout en l'embrassant dans le coup puis descendit mes baiser jusqu'à sa poitrine. que ce soit de souffrance ou de plaisir, ce que je préférait était de pousser mes victimes dans leurs derniers retranchements...

- Difficile à dire alors que tu ne peux pas voir, si ça se trouve j'ai repris mon apparence de démon...

- je n'est pas besoin de mes yeux pour te voir... peut importe ton apparence... tu es comme tu es... et c'est comme cela que je t'....

Je ne finit pas ma phrase, préférant garder le silence. Sans doute étais-je devenue folle, mais j'étais ainsi.

- Et toi ta beauté relève du diabolisme, ça devrait pas être permis ça.

- je..Non..je ne suis pas...belle que ça...

Je sentis ses doigts sur ma joue, savourant ses fins baiser sur ma peau et murmura:

- tu exagère toujours les choses abriel...

Oui je suis belle, mais je ne me suis jamais trouver extra-ordinaire pour autant, j'ai vu des tas de femme bien plus belle et attirante que moi... Je me met à rougir, je suis tout de même très flatté des mots d'abriel et pour être honnête,j'aime quand il me dit des choses cela, qu'il me les murmure à l'oreille de sa voix envoutante.