Nouvelle journée (pv abriel & angie)

Aujourd'hui, jours de repos... enfin, j'en avais besoin. J'avais laisser toute la paperasse et les combats, combats que sois dit en passant je ne faisait plus depuis quelques semaines...Abriel avait tendance à vouloir trop me protéger, cela me rendais inquiète, je le trouvais étrange depuis quelques temps, est-ce qu'il me cachait des choses ? je ne sais pas...
Comme toute femme qui se respecte, pour me défaire de mon stresse je partais faire les boutiques. C'était rare les moments où je pouvais me faire plaisir, sauf depuis que je suis avec Abriel. Je n'avais pas vu mon aimée depuis des heures, je ne savait pas ce qu'il faisait et je ne préférais pas savoir. Quoi qu'il soit, je me baladais dans la ville, certains regard se portais sur moi, maintenant, tout le monde savait pour Abriel et moi, certaines femme me lançais des regard noir et hautains, je les soupçonnaient d'être jalouse, d'autre se contentais de me dévisageait, d'autres personnes me regardais avec crainte...je n'étais pas encore habituer à cela mais bon...je faisait avec et puis personne n'osait me dire en face de ce qu'ils pensaient, trop effrayer, surtout par Abriel enfaite. J'avais déjà fait une ou deux boutiques, c'était vraiment étrange, la plupart du temps, les gens ne me faisait pas payer, mais je laissais quand même l'argent sr le comptoir...étais-ce pareil pour Abriel ? lui suffisait-il de dire ce qu'il voulait et les gens le lui donnais ? je ne suis pas sur que je me m'y habituerais... J'entrais dans une boutiques de vêtements et salua la vendeuse qui s'inclina et me dit:

- Bienvenue à vous maîtresse !

Je crut que j'allais m'étouffer...maitresse ? non mais j'aurais tout entendu !!!

- que puis-je pour vous ?

La femme me fit un sourire radieux, je ne pensais pas qu'être la petite amie d'Abriel ferais de moi une femme aussi respecter...

- j'aurais besoin d'une robe...

- quel genre ?

- quelques chose de sobre mais sexy...

La femme sourit de plus belle et s'éloigna et revins avec quelques robe. Elle me les fit voir ais une seule attira mon attention... Je la prit et entra dans la cabine d'essayage., Je me déshabillais puis enfila la robe et sortit pour me regarder dans le miroir. La vendeuse s'approcha et sourit:

- elle vous vas à merveille maîtresse !

Je serrais la mâchoire, encore une fois se nom et je l'étrangle. Je me regardais dans la glace, la robe était longue et noir, le tissus extrêmement fin collais à ma peau, faisant ressortir caques courbes de mon corps. Je me tournais, posant mes mains sur mes hanches et regarda mon dos dénudé car la robe descendait jusqu'à mon bassin, laissant mon dos entièrement nue. je soupirais quand soudain, quelqu'un s'approcha de moi...

Il me restait encore beaucoup de travail aujourd'hui et l'enquête dans les enfers avançait peu à peu. quelques personnes auraient vus le démon traître qui nous a causé tant de problème. Je ne serait pas tranquille tant que je ne me serait pas chargé personnellement de ce moustique. Bref, encore une journée de plus à courir dans les enfers pour tout et n'importe quoi. J'aurais largement préféré rester avec Angie, malheureusement, ce foutu travail me prenait beaucoup de temps.

La matinée passa et je voyais enfin le bout de mon travail, si je me dépêchais, en une heure tout au plus, j'aurais terminé. Je me mit donc au travail avec un regain de motivation. Et comme prévu, une heure plus tard j'en avait fini avec mon travail administratif. Je décidais donc de rejoindre la puce au manoir.

Arrivé sur les lieux, pas moyen de la trouver. L'angoisse commençait à me tenailler. Je fit le tour de la maison au moins deux fois.Croisant un domestique, je lui demandait où se trouvait Angie :

- Dame Angie ? Elle est sortie faire les boutiques.

Mon cœur se calma quelques peu et je prenais immédiatement le chemin du quartier commerçant des enfers. Je dut faire plusieurs boutiques avant de la retrouver. Elle portait une magnifique robe noire, très élégante, qui laissait apparaître son dos. Je m'approchais d'elle, entourant sa taille de mes bras.

- Je t'ai enfin retrouvé. Cette robe te vas à ravir.

Elle était à croquer ainsi et l'on aurait facilement pu croire qu'elle avait été faite pour elle, taillée sur mesure. Je déposais un baiser dans son coup et lui dit :

- J'ai réussi à me libérer plus tôt aujourd'hui.

- Je t'ai enfin retrouvé. Cette robe te vas à ravir.

Je me retournais et vit Abriel derrière moi. La vendeuse se crispa et s'inclina à plusieurs reprise en disant:

- maître...soyez la bienvenue dans ma modeste boutique !

Modeste mon œil ! c'était une des boutiques les plus réputé des enfers, seule les nobles y avait accès à cause des prix et la qualité des vêtements. je regardais mon amant puis me retourna, sans même lu dire un mots, j'allais si mal en se moment que je m'étais un fossé entre lui et moi, j'en souffrait ... mais chaque fois que je voyais son visage, je me sentais coupable de tout ce qui était arrivée, j'avais si honte de moi.... Il s'approcha et m'embrassa dans le cou.

- J'ai réussi à me libérer plus tôt aujourd'hui.

J'en était plus que ravie, si bien qu'un petit sourire se dessina sur mon mon visage tout en poussant un petit soupir de soulagement. Abriel serrais à moi pour le reste de la journée...

- merci mon amour... si tu savais le bien que cela me fait...

Je me retournais et l'embrassa tendrement, la vendeuse nous fixais en rougissant, bouche bée comme une idiote. Je me blottit dans les bras musclé d'Abriel un instant, profitant de sa douceur, de sa chaleur. Je lui sourit ensuite et me tourna vers la vendeuse qui me regardais avec un regard gêné:

- vous auriez des chaussures pour aller avec cette robe ?

La vendeuse me fit un signe positif de la tête et partis chercher les chaussures pendant que je m'assaillais sur un petit siège rembourrer tout en fixant Abriel.

- comment vas-tu aujourd'hui ? demandais-je d'une voix douce.

- voilà maîtresse !!!

Je me crispa, lançant un regard noir à Abriel et lui murmura:

- elle m'appelle encore une fois comme ça et je lui coupe la tête !

La vendeuse s'approcha, je lui fit un sourire forcer, elle ouvrit la boite de chaussure et en sortit de jolie escarpins noir et me les tendis. Je les mit à mes pieds puis me leva et fit quelques pas avec.

- c'est parfait, je prend !

La vendeuse me fit un sourire gigantesque, j'en fut presque éblouie. Je retournais dans la cabine d'essayage, enfila ma robe beige que je portais à mon arriver avec des bottes marrons puis donna la robe à la vendeuse et sortit la meilleur amie de la femme, je nomme...la carte de crédit !!!!

Lorsqu'Angie se tourna vers moi, ses yeux étaient assez triste. J'en avais plus qu'assez de la voir ainsi. Pour sûr ce démon traître le regretterais quand je lui mettrais la main dessus.

- merci mon amour... si tu savais le bien que cela me fait...

- Moi aussi, on va pouvoir passer un peu de temps ensemble.

Je luis adressait un grand sourire alors qu'elle s'adressait de nouveau à la vendeuse afin d'obtenir des chaussures qui aillent avec sa nouvelle robe. J'avais hâte de la voir la porter. La vendeuse s'éloignait alors pour aller chercher les chaussures qu'elle avait demandé.

- comment vas-tu aujourd'hui ?

- Je suis fatigué mais au combien heureux de pouvoir passer du temps avec toi ! Et toi ?

- voilà maîtresse !!!

La vendeuse... j'avais envie de rire mais quand je vis Angie se crisper et devenir furieuse de me retint.

- elle m'appelle encore une fois comme ça et je lui coupe la tête !

- Mademoiselle... ça suffit. Cette jeune femme à un nom. Compris ?

La vendeuse acquiesça, soudain nerveuse.

Angie essaya ensuite les chaussures. Même si je n'y connaissais rien, je trouvais qu'elle était superbe comme ça. Elle s'éclipsa ensuite pour retrouver sa tenue de départ et laissa le soin à la vendeuse de lui emballer tout cela. Ses achats avec elle, je lui prit la main :

- Ou souhaites-tu aller maintenant ?

Décidément, seul la présence d'Abriel savait me donner le sourire en se moment. je me sentais vide quand il n'étais pas là, j'étais frustrer. La vendeuse emballas mes achats et les mit dans un sac que je prit. Abriel me prit par la main puis nous sortions tout deux de la boutique.

- Ou souhaites-tu aller maintenant ?

- euh... je...

Je détournais le regard, contente de la présence de mon amant mais au contrarié car j'avais prévu d'aller à la boutique d'armes, mais Abriel était contre depuis cet accident.

- euh...à la boutique d'armes ?

Il me lança un tel regard que je détournais les yeux aussitôt en rougissant.

- bon...euh...On va oublié ça....

Je réfléchis puis leva le sac avec la robe et les chaussures.

- tu peux envoyer ça à la maison ?

Je lui sourit puis dans un claquement de doigts (j'adore quand il fait ça >.<), il fit disparaitre les sac. je lui sourit et dit:

- et si on allait chez le bijoutier ? il me fait bien quelques petites chose pour aller avec cette robe non ?

Ma question sembla gêner quelque peu Angie qui détourna rapidement le regard.

- euh... je...euh...à la boutique d'armes ?

Je lui fit comprendre par un simple regard que c'était hors de question ! Je ne ferais plus l'erreur de l'exposer ainsi au danger.

- bon...euh...On va oublié ça....tu peux envoyer ça à la maison ?

Évidemment.

e lui fit un sourire suivit d'un petit clin d'œil puis envoya aussitôt tout cela dans sa chambre par un claquement de doigt avec un petit mot aux domestique pour qu'il lave la robe immédiatement et en faisant attention.

- et si on allait chez le bijoutier ? il me fait bien quelques petites chose pour aller avec cette robe non ?

- Alors en route !

Nous prenons alors la direction de la bijouterie (en fait c'est elle qui guide parce que moi et les boutiques... J'ai du y mettre les pieds deux fois dans ma vie ^^'), main dans la main. Beaucoup de gens nous regardaient intrigués d'un air de dire "alors c'était vrai ?!". Tous je les fusillais du regard comme pour les dissuader de se mettre en travers de notre chemin. Enfin nous arrivons devant l'entrée. Nous nous attardons quelques minutes sur la vitrine puis entrons, je laisse Angie faire ses choix puis pendant qu'elle part dans un autre coin de la boutique, je lui achète rapidement une magnifique parure que je cache aussitôt dans mon manteau.

- Tu trouves ce que tu veux ma chérie ?

Nous nous dirigions vers le bijoutier, les regards que nous lançais les habitants me firent rire intérieurement. J'étais extrêmement fière d'être avec Abriel, il faisait ma fièreté et je ne m'en cachais pas, si bien que je m'arrêtais en plein milieu de la ruelle, devant tout le monde et l'embrassa langoureusement. Je ne sais combien de temps nous sommes rester ainsi, mais quand nous nous mirent de nouveau en route, la moitié des passants était rester figé bouche bée à nous regarder. Une fois chez le bijoutiers, Abriel et moi nous nous séparions, je lui sourit et commença à flâner devant les vitrines, fixant tout ses bijoux plus beaux les un que les autres. J'avais une préférence pour l'argent et l'or blancs, détestant l'or, que je trouvais trop jaunes te trop tape à l'oeil. Puis cela n'allais pas avec mes cheveux blancs et ma peau pâle, l'argent faisait beaucoup plus jolie. J'étais si concentrer que je ne voyais pas ce que faisait Abriel dans son coin. je m'arrêtais un instant devant les alliance. J'eus un pincement au coeur en les voyant puis la voix d'Abriel se fit entendre.

- Tu trouves ce que tu veux ma chérie ?

je sursautais et me décala d'un pas sur le côté en souriant gênée:

- euh... on vas dire ça comme ça...

Je regardais la vitrine coller à celle des alliances et montra des boucles d'oreille en argent et murmura:

- je les trouve jolies, pas toi ?

Je me forcer à ne pas le regarder dans les yeux, essayant aussi de ne pas reporter mon regard sur les alliance...

Étrangement, Angie sursauta lorsque je lui adressait la parole. Je 'approchait d'elle, amis pas moyen de croiser son regard. Je commençais à m'inquiéter, puis, alors qu'elle me désignait des boucles d'oreilles, j'aperçus les alliances juste à côté. Tout s'expliquait et cela me fit rire intérieurement. Ainsi elle aspirait à se marier ? Pourquoi pas, encore faudrait-il en discuter.

- je les trouve jolies, pas toi ?

- Si. Elle t'iraient très bien !

Je voyais bien qu'elle était crispée, aussi, avec un sourire amusé, je lui demandait :

- Quelque chose ne vas pas ?

Je l'enlaçais, portant volontairement mon regard dans le sien, j'avais envie de l'embêter, j'aimais la voir désemparée face à moi. Finalement, je l'embrassais devant une vendeuse qui ne savait plus où se mettre. Q'y avait-il de si gênant ?

- Si. Elle t'iraient très bien !

Je me forçais à sourire, passant une main sur ma nuque tout en fixant les boucles d'oreilles dans la vitrine.

- Quelque chose ne vas pas ?

- si, tout vas bien ! je...

Abriel l'enlaça, plongeant ses yeux dans les miens. Je rougis faiblement alors qu'il m'embrassa langoureusement devant tout le monde. A côté, j'entendis les vendeuse murmurer en rougissant:

- olala...il à beau être notre maître à tous....il est vraiment magnifique !

- oui...j'en frissonne rien que de le regarder...

- j'aimerais tellement qu'il me fasse la même chose...

- moi aussi....

Je me mit à rire faiblement tout en embrassant Abriel. Vraiment, je semblait avoir une chance d'enfer d'être avec Abriel (c'est le bon mot xD), j'en avais tout à fait conscience !

- ma soeur à vraiment eu de la chance quand elle à passer la nuit avec lui...

- elle à eu cet honneur ? qu'elle chance alors...

Je me crispais brusquement. Abriel cessa le baiser et me regarda gênée. Je lui lançais un regard noir et lui dit:

- toi...on va avoir une discussion en rentrant à la maison.

Non mais il s'est taper combien de fille avant moi ??? GRRRRR ! sa me met hors de moi. je claquais des doigts et dit froidement aux vendeuse:

- au lieu de fantasmer sur votre maître, emballez moi ses boucles d'oreilles !

Les deux femmes s'approchèrent en rougissant et s'exécutèrent. Abriel voulu me prendre la main et je la repoussais en boudant. J'étais décider à faire ma tête de mule, que sa lui serve de leçon !!!!

- au cas où tu ne l'aurait pas remarquer... je boude !

Je détournais le regard en croisant les bras d'un air hautain.

Alors que le baisé se prolongeait, les voies des vendeuse envieuses se faisaient entendre, vraiment, elles sont pas discrètes les miss. C'est alors qu'une des deux vint à aborder un sujet plus qu'épineux : une des filles avec qui j'avais couché avant de connaître Angie se trouvait être la sœur d'une des deux. Angie se raidit soudainement et je sentais que ça allait gueuler... Je cessait de l'embrasser pour la regarder droit dans les yeux, lui faire comprendre que seule elle comptait. Mais ce fut un gros flop :

- toi...on va avoir une discussion en rentrant à la maison.

Je la regardais les yeux écarquillés. Depuis quand me donnait-elle des ordres ?!

- au lieu de fantasmer sur votre maître, emballez moi ses boucles d'oreilles !

Fulminant, j'attendit que les vendeuses s'exécutèrent puis je les projetait violemment contre un mur, les tuant sur le cou. Elle ne méritait pas mieux.

- au cas où tu ne l'aurait pas remarquer... je boude !

Je la ramenait donc de force au manoir, à l'abri des oreilles indiscrètes. Je reprenais ma vrai forme sous l'effet de la colère et me mit çà hurler en retenant Angie par le poignet.

- Tu la veux ta discution ?! Tu vas l'avoir ! Depuis quand tu me donne des ordres devant tout le monde toi ?! Et en quoi cela te pose-t-il un problème que j'ai couché avec cette pute puisque c'était avant de te connaître ?

Je n'avais pas voulu m'énerver mais j'avais déjà du mal à me faire obéir de mes subordonnés, si Angie me discréditait devant le reste de la population, c'était la fin de mon commandement.

Je regardais les cadavre des deux des vendeuse sans broncher. j'étais même plutôt heureuse de les voir morte. Soudain, le décor changea et je réalisais que nous étions de nouveau le manoir. Abriel me saisit par le poignet et hurla un bon coup alors qu'il avait repris sa forme monstrueuse:

- Tu la veux ta discution ?! Tu vas l'avoir ! Depuis quand tu me donne des ordres devant tout le monde toi ?! Et en quoi cela te pose-t-il un problème que j'ai couché avec cette pute puisque c'était avant de te connaître ?

je n'avais vraiment pas peur de lui, sans doute parce que je l'aime trop, se doit être ça qui fait que moi je ne le voit pas comme un monstre... Je me débattais, frappant sur son bras à l'aide mon poing et criai:

- lâche moi ! tu me fait mal !!!

Je n'avais pas vraiment la force de me battre, j'aurais pût me détacher de son emprise, je l'est fait un nombre incalculable de fois par le passer, mais l'idée de lui faire mal m'étais insupportable, encore l'un des effet de l'amour.... Je je fixais les larmes aux yeux et lui dit froidement:

- ne comprends-tu pas que je réagis ainsi parce que j'ai peur de perdre ?

Je repoussais les mèches de cheveux qui barrais mon visage et ajouta:

- l'idée que tu m'abandonne pour une autre me rend malade ! est-ce si dur que cela à comprendre ????

Finalement, avec un geste brutale du bras, je lui fit lâcher mon poignet monta les escalier qui menais vers notre chambre, fulminante de rage et de tristesse.

Alors que la fureur me dominait de a à z, Angie me demandait de la lâcher. Je ne prenait même pas conscience de ce qu'elle me disait :

- lâche moi ! tu me fait mal !!!

Ce fut lorsque je vit des larmes perler au coin de ses yeux que je desserrais un peu mon étreinte et écoutait ce qu'elle disait :

- ne comprends-tu pas que je réagis ainsi parce que j'ai peur de perdre ? l'idée que tu m'abandonne pour une autre me rend malade ! est-ce si dur que cela à comprendre ????

Ce qu'elle me dit me blessa profondément, comment pouvait-elle encore oser penser que je pouvais aimer quelqu'un d'autre qu'elle ? Elle monta les escalier et partit dans la chambre sans que j'ai le temps de lui dire quoi que ce soit. Toujours aussi remonté, je gagnais moi aussi la chambre à la recherche d'un caleçon propre, un bain me ferait le plus grand bien. En passant à côté je lui dit froidement :

- Y'a que toi dans ma vie, je pensais que tu le savais que les autres ne m'intéressaient pas. Je suis pas une girouette.

Trouvant enfin ce que je cherchais, je quittais la chambre pour aller dans la pièce d'à coté : la salle de bain. Comme si j'allais me barrer avec une autre... n'importe quoi ! Si je l'aimais pas vraiment j'aurais pas passer tout ce temps à attendre son réveil et j'aurais jamais acheté ce manoir. Enfin bon ! Je fais couler l'eau bien chaude puis une fois que la baignoire est bien remplie, je reprends ma forme initiale et m'installe dans l'eau, fermant les yeux.

Je me laissais tomber sur le lit en pleurer à chaudes larmes. J'étais triste, je sait que depuis le temps j'étais censé avoir compris qu'Abriel n'aimais que moi mais j'avais toujours cette peur de le perdre. J'avais confiance en lui amis j'étais terrifier. IL entra dans la chambre pur ensuite se diriger vers la salle de bain:

- Y'a que toi dans ma vie, je pensais que tu le savais que les autres ne m'intéressaient pas. Je suis pas une girouette.

Je cachais mon visage en larmes contre mon oreiller et ne dit rien. Abriel partit donc prendre un bain, le connaissant, il voulait surement se détendre. Je relevais mon visage et regarda mon poignet? Pas étonnant que j'avais si mal, il m'avait entailler la chair avec ses griffes ! je fixais les écorchures ensanglanter sur ma peau et me redressa. je sortit de la chambre et descendit dans la cuisine ou je me nettoyais tout cela. Je m'apprêtais à faire un bandage quand Abriel entra dans la cuisine, nue avec juste une serviette autours de la taille, je me relevais brusquement, cachant mon poignet derrière mon dos et murmura:

- excuse moi..j'ai mal agis...je suis vraiment égoïste mais je te jure..j'ai vraiment peur de te perdre Abriel...

j4entendis Angie sangloter à mon passage. Malgré tout, je prit mon bain. Un bain brulant, ce qui me fit le plus grand bien. J'avais besoin de ma calmer. Une fois propre et de nouveau l'esprit froid, je m'entourais d'une serviette et prenais la direction de la cuisine où était resté mon manteau dans lequel était caché la parure. J'y trouvais Angie debout devant l'évier, du désinfectant et des bandages à côté d'elle. De plus, l'odeur du sang inondait la pièce.

- excuse moi..j'ai mal agis...je suis vraiment égoïste mais je te jure..j'ai vraiment peur de te perdre Abriel...

- Ce n'est pas grave mais il n'y a aucune raison que tu me perde. Si tu me perd ça voudra dire que nous seront mort tous les deux.

Je déposais un baiser rapide et la forçais à me montrer son poignet bien ouvert. Je fis apparaître un minuscule flacon d'à peine 2mL d'une potion couleur émeraude qu'elle connaissait bien. cela suffirait à soigner ses blessures.

- Bois ça, tu auras plus rien comme ça.

Me retournant, je farfouillais dans mon manteau à la recherche du collier. Une fois trouvais je lui passait autour du cou :

- Je t'ai trouvé ça à la boutique. Je me suis dit qu'elle te plairait.

Abriel semblait moins en colère contre moi, j'étais rassurer...

- Ce n'est pas grave mais il
n'y a aucune raison que tu me perde. Si tu me perd ça voudra dire que
nous seront mort tous les deux.

IL s'approcha puis m'embrassa, saisissant mon poignet que j'essayais de cacher, j'aurais dû me douté que l'odeur du sang attirerais son attention, qu'elle idiote... Il fit apparaitre l'une des fameuse potion de soin...j'avais dû y faire un abonnement sans m'en rendre compte ! je prit le flacon et le but d'une traite. Toujours se même gout sucré... je fixais les plaies sur ma peau qui disparurent aussitôt. J'étais si occuper à regarder ça que je ne vit pas Abriel s'approcher avec un bijoux. Il me le mit autours du cou.

- Je t'ai trouvé ça à la boutique. Je me suis dit qu'elle te plairait.

Je baissais les yeux sur le collier et murmura les larmes aux yeux:

- oh mon Dieu... il est magnifique !

je regardais Abriel et éclata en sanglot en me jetant à son cou. je me sentais idiote d'avoir encore fait une de mes crise stupide de jalousie.

Une fois que je lui eut enfilé la parure, ses yeux se posèrent dessus puis elle s'exclama :

- oh mon Dieu... il est magnifique !

- Cela me fait plaisir.

Ses yeux plongèrent dans les miens alors qu'elle éclatais en sanglot une nouvelle fois. Décidément, les temps n'étaient pas très joyeux pour nous en ce moment. Je la prit dans mes bras à nouveau, lui assurant que ce n'étais pas grave.

- Qu'est-ce que tu veux faire ? C'est ton après-midi, c'est toi qui choisit.

Après tous les après-midi qu'elle passait seule, l était bien normal que l'on fasse ce dont elle a envie, je savais très bien à quel point c'était déprimant pour elle de rester ici pendant que j'étais au bureau. Malheureusement, je ne pouvais pas l'emmener au bureau ou je passais plus de temps à m'occuper d'elle qu'à travailler et à la fin j'étais toujours plus débordé.

Abriel me serra contre lui et je sourit en passant mes bras autours de son cou et l'embrassa de nouveau.

- Qu'est-ce que tu veux faire ? C'est ton après-midi, c'est toi qui choisit.

Je plongeais mes yeux bleuté dans les siens et sourit, réfléchissant.

- je ne sais pas trop...tant que je suis avec toi tout me vas...

Je l'embrassais au coin des lèvres avec sensualité et murmura:

- sa te dit de monter dans la chambre?

je lui lançais un regard malicieux puis l'embrassa langoureusement.

Angie braqua son regard océan sur moi, réfléchissant un moment. Puis un petit sourire que je connaissais très bien se dessina sur son visage :

- je ne sais pas trop...tant que je suis avec toi tout me vas...

Elle posa ensuite ses lèvres sur les miennes. Je répondait à son baiser sensuelle avec autant de tendresse que possible.

- sa te dit de monter dans la chambre?

Je la pris de suite dans mes bras, la soulevant de terre et nous téléportais dans la chambre. Sur ce, je la déposais sur le lit avant de dire avec le même petit sourire qu'elle :

- Comment cela monter dans la chambre ? Nous y sommes déjà... Ne seriez-vous pas un peu malade mademoiselle ?

Ses yeux s'embrasèrent alors que je l'embrassais de nouveau, avec fougue cette fois, tout en l'allongeant dans le lit.

- Vous semblez un peu palote non ?

Abriel nous téléporta dans la chambre, m'allongeant sur le lit comme une princesse, il me dit, amuser:

- Comment cela monter dans la chambre ? Nous y sommes déjà... Ne seriez-vous pas un peu malade mademoiselle ?

je lui sourit et haussa les épaules en l'embrassant.

- Vous semblez un peu palote non ?

- peu être devriez vous m'ausculter non ?

Je me mit à rire amusée puis glissa mes mains le longs de son torse nue et retira la petite serviette qui le recouvrais, la jetant sur le sol, je regardais le corps nue de mon amant et sourit. Je le fit s'allonger sur le lit doucement tout en l'embrassant, descendant mes lèvres le long de son torse puis arrivant devant son entre jambes, je caressais doucement sa virilité déjà fièrement dresser. Je souris et passa ma langue dessus et la mit doucement en bouche pour lui procurer de douce caresse. J'essayais d'être la plus douce possible.

- peu être devriez vous m'ausculter non ?

Je lui sourit alors qu'elle m'allongeait sur le lit à son tour tout en m'embrassant, ôtant la serviette qui me tenait lieux de vêtements.

- Peut-être en effet.

Je répondit à ce baiser qu'elle rompit pour laisser glisser ses lèvres sur mon torse jusqu'entre mes cuisses, caressant mon membre déjà dur. Ses caressent me procuraient beaucoup de plaisir, me faisant frissonner de la tête au pied, détendant chacun de mes muscles. Elle passa ensuite sa langue dessus m'arrachant un nouveau frissons avant de le prendre en bouche, débutant de doux vas et viens pour le moins très agréable. Pendant ce temps je caressais les cheveux soyeux d'Angie. Je finis par la relever, l'embrassant et caressant doucement sa poitrine puis son ventre fin, remontant sa cuisse de ma main et la passant délicatement sur son intimité humide, insinuant lentement mes doigts entre ses cuisses pour finalement entrer en elle et se mouvoir lentement.

Abriel semblait apprécié ce que je lui faisait mais je ne sait pas vraiment pourquoi, il y mit fin assez rapidement. Je ne dit rien, abriel me déshabilla, ne me laissant que la parure autours du cou. Je lui sourit alors qu'il commença de douce caresse sur mon intimité. Je l'embrassais tendrement, soupirante à ses caresses. je me mit à rougir.

- Abriel...je t'aime !

D'un geste doux je repoussais sa main puis m'empala avec douceur sur son membre. J'embrassais Abriel langoureusement tout en ondulant mes hanches gracieusement, savourant se moment intimes avec mon amant.

Mes gestes plaisaient à Angie qui laissait régulièrement échapper de petits soupirs tout en prolongeant notre baiser.

- Abriel...je t'aime !

Ses joues étaient toutes roses ce qui me fit sourire, elle était mignonne ainsi. J'aimais la sentir frissonner ainsi à mes côtés. Finalement, elle retira ma main pour s'enfoncer sur mon membre, me déclenchant un frisson bien plus intense que les précédents. Elle m'embrassa de nouveau avec amour tout en bougeant son bassin avec délicatesse me procurant un plaisir sans pareil. Je délaissait ses lèvres pour embrasser son cou, déposant de petits baiser puis descendant sur ses seins, jouant de ma langue contre ses tétons durcis.

- Moi aussi je t'aime ma chérie.

J'appréciais chacun de ces moments intimes passés avec elle, ces moments où les problèmes n'existent plus où seuls l'amour et le plaisir son présents pour les deux amants. Pendant que ma langue était occupée au niveau de sa poitrine, je laissais courir ma main vers l'intérieur de sa cuisse, la caressant avec douceur.

je sentais le plaisir monter à une vitesse inouïe, mon corps frissonnais sous les caresses d'Abriel, sentant ses doigts sur la peau glisser en rythme avec ses lèvres. Je m'empalais plus fort sur le membres de mon amant, je le sentir tressaillir, frissonnant et ses doigts se crispèrent sur sa place. je souris malicieusement et répéta se mouvement tout en m'embrassant, je voulais le faire mourir de plaisir alors une encore une fois, je m'enfonçais avec force et douceur sur sa virilité. S'il avait pût hurler de plaisir, je suis sur qu'il l'aurait fait. Je fit glisser mes lèvres sur son cou, passant mes bras derrière sa nuque, collant mon corps brûlant contre le sien.

- c'est tellement bon...

Faire l'amour avec Abriel était toujours un moment magnifique, et puis il était dure de résister à son charme.

Ces quelques moments privilégiés avec Angie, bien qu'ils soient réguliers, n'en étaient jamais moins intense et c'était la seule femme à savoir m'emmener aussi loin qu'elle le faisait, sans avoir recours à la sauvageries. Peut-être était-ce dû au fait que je l'aimais ? Nos lèvres collées, nos langues se jouant l'une de l'autre, je profitais d'un long baiser langoureux alors qu'Angie continuait ses mouvement de hanches, m'empêchant presque de respirer sous l'effet du plaisir. Le souffle coupé, je fut contrait d'abandonner le baiser pour tenter d'absorber un peu d'air. Tremblant, fiévreux et ivre de plaisir sous les caresses toujours plus intense et profonde d'Angie.

- c'est tellement bon...

Incapable d'articuler deux mots, je me contentait de caresser sa joue fébrilement, profitant au maximum du moment présent. Comme je ne voulais pas lui laisser tout le travail, je la basculais doucement en arrière, l'allongeant sur le dos dans le lit et entamant de long et doux vas-et-viens en elle en l'embrassant de nouveau.

Abriel semblait dans un état second. Il me fit doucement basculé sur le dos, commentcan de odux vas et viens en moi. Les rôles étaient échanger mais le plaisir n'en restais pas moins meilleurs. je soupirais d'extase, rougissant faiblement tout en embrassant Abriel langoureusement. Je sentais le plaisir monter encore, lâchant un petit gémissement, j'enlaçais Abriel tendrement, mes mains caressant son dos musclé.

- Abriel...encore...

Je gémit encore, désirant encore sentir les lèvres de mon amant, je l'embrassais. Mon regard devint phosphorescent, abriel était habitué à cela maintenant, mais cela le fit sourire. Le plaisir était si intense que je plantais mes ongles dans son dos et le griffant lentement tout en l'embrassant langoureusement.