examen ? oui, mais pourquoi ? (pb abriel & angie)

Angie étaient tout à coup très pensive, trop à mon gout, je ne voulais pas qu'elle se fasse de mauvais sang.

- ce ne marche peut être pas sur toi mais sur moi oui, je ne serais pas étonner que els oracles est prévu ça... si vu l'ampleur de la situation, sa ne m'étonnerais pas qu'ils est voulu le cacher...

- Je ne vois pas l'intérêt qu'ils pourraient en retirer.

- et si...imaginons un instant...que les oracles se soit servit des jumelles pour détourner l'attention des jumelles de notre enfant...après tout, même moi j'ai battu les jumelles...n'as-tu jamais trouver cela bizarre qu'après tout se temps, leur niveau soit rester..si bas ? je ne dit pas qu'elles sont faible, loin de là mais...tout de même, elle ne progresse pas et ne semble pas se développer plus que cela...

Concentrée je cherchais à comprendre en quoi les oracles avaient intérêts à cacher la venue de cet enfant. C'était absurde. Je me perdis un moment dans mes réflexions puis la voix d'Angie m'en retira :

- abriel, sa va ?

- Oui, oui, ne t'inquiète pas. Et toi ?

- écoute, j'aimerais que tu me laisse faire mon enquête, je ne serais pas seule si c'est cela qui t'inquiète... je pourrais faire appelle à zwei et même à beskor s'il le faut...qu'en pense-tu ?

Je fit signe que non de la tête.

- Beskor peux se joindre à nous mais je ne t laisse pas partir nulle part seule.

Je ne tenais pas à perdre Angie ou le bébé et je ne la laisserais donc pas seule un seul instant.

- Je ne vois pas l'intérêt qu'ils pourraient en retirer.

- sauf si l'enfant venait à prendre ta succession, ce qui est sur soit dit en passant et... ne crois-tu pas que cela serait encore plus dangeureux pour l'autre camp ? réfléchis un instant, cet enfant seras encore plus fort que toi ! il représente une menace encore plus grande, surtout si toi tu es là pour le préparer à ta succession..à vous deux, vous serait imbattable...

Je soupirais, un peu déçus de voir qu'Abriel prenait cela avec tant de légèreté. Mon stresse monta brusquement si bien que je saisit un bout de pain et mordit dedans avidement pour essayer d'assouvir la faim qui me tenaillait.

- Beskor peux se joindre à nous mais je ne t laisse pas partir nulle part seule.

- merci...

je secouais la tête n fixant le fleuve à l'extérieur et dit avec une voix inquiète:

- n'oublie pas une chose... quand la nouvelle de ma grossesse atteint la surface, que crois -tu qu'ils feront ? regarde la réaction qu'il ont eu vis à vis de notre 1er enfant.... essaye d'imaginer ce qu'il pourrait faire à celui là.

je me levais lentement sous le regard de mon amant:

- je ne prendrais pas le risque que l'ont me sépare une fois de plus de mon bébé... et si jamais je trouve quelque chose à son sujet qui pourrait aboutir à une nouvelle guerre ou autre..je le ferais, pour notre bien à tout les trois.

je passais prêt d'Abriel et sortit du restaurant, marchant dans les rues des enfers, j'avais besoin de prendre l'air.

- sauf si l'enfant venait à prendre ta succession, ce qui est sur soit dit en passant et... ne crois-tu pas que cela serait encore plus dangeureux pour l'autre camp ? réfléchis un instant, cet enfant seras encore plus fort que toi ! il représente une menace encore plus grande, surtout si toi tu es là pour le préparer à ta succession..à vous deux, vous serait imbattable...

- Je suis d'accord avec toi mais ce que je veux dire c'est que dans ce cas, ils n'ont pas de raison de le cacher, de plus les trois quarts des oracles sont chez nous ou neutres.
Un réflexion que je m'étais déjà faite auparavant me reviens en tête : j'aurais intérêt à ne pas laisser les personnes dites neutres trop longtemps sans contraintes où cela pour faire un troisième camp et finir également par représenter une menace.

- n'oublie pas une chose... quand la nouvelle de ma grossesse atteint la surface, que crois -tu qu'ils feront ? regarde la réaction qu'il ont eu vis à vis de notre 1er enfant.... essaye d'imaginer ce qu'il pourrait faire à celui là.

- Je le sais parfaitement et c'est bien pour ça que je refuse de te laisser partir seule avec Beskor. Il est fort mais pas tant que toi ou moi donc à mes yeux être avec lui n'est pas une sécurité.

Angie était on ne peux plus inquiète et elle commença à se lever de table. Je l'imitais.

- je ne prendrais pas le risque que l'ont me sépare une fois de plus de mon bébé... et si jamais je trouve quelque chose à son sujet qui pourrait aboutir à une nouvelle guerre ou autre..je le ferais, pour notre bien à tout les trois.

Alors qu'elle sortais du restaurant, je la suivais.

- Tu n'as aucune crainte à avoir à ce sujet, je veillerais sur vous deux. Tu veux rentrer ? Ou tu veux terminer de manger avant ?

Je l'arrêtais dans sa marche, la prenant dans mes bras pour calmer son anxiété.

- Je t'aime, je ne veux pas te perdre et je ne veux pas te voir mal non plus alors cesse d'y pense, pour le moment réjouissons nous, nous aurons tout le temps de nous préparer demain ou après demain, ce soir, c'est notre soirée d'accord ?

Je l'embrassais tendrement, espéra nt qu'elle se rassure un peu.

Abriel me rejoins dans la rue rapidement et me dit:

- Tu n'as aucune crainte à
avoir à ce sujet, je veillerais sur vous deux. Tu veux rentrer ? Ou tu
veux terminer de manger avant ?

- non je..je n'est plus très faim, je préfère marcher un peu et rentrer ensuite...

Abriel me retins, m'arrêtant dans mon élan et me serra contre lui. je fermais les yeux, j'étais sur les nerfs, anxieuse comme jamais. Je ressentais cette peur qu'était de perdre de nouveau mon enfant et pour rien au monde je n'aurais voulu cela.

- Je t'aime, je ne veux pas te
perdre et je ne veux pas te voir mal non plus alors cesse d'y pense,
pour le moment réjouissons nous, nous aurons tout le temps de nous
préparer demain ou après demain, ce soir, c'est notre soirée d'accord ?

- oui...excuse moi, j'ai encore tout gâcher à cause de mes inquiétudes à la noix...

je rendait son étreinte à Abriel et l'embrassa tendrement.

- moi aussi je t'aime.

Je lui sourit pour le ressurer. je m'en voulait, Abriel avait déjà tellement de chose à régler e moi je venais lui parler de mes inquiétudes, le pauvre, je me demande parfois comment il faut pour ne pas me gifler et comment fait-il pour me supporter.

Je ne supportais pas de voir Angie dans cet état et il était bien évidemment hors de question que cette soirée se termine sur une note négative. Angie commença à se confondre en excuses ce qui ne me plu pas trop, il était normal qu'elle soit inquiète, elle n'avait rien gâchée du tout !

- Mais bien sûr. Tu ne gâche riens du tout ma chérie.

Je déposais un baiser sur son front puis l'entrainant par la main, je lui fit traverser une petite rue.

- Si tu souhaites marcher, nous marcherons, mais dans ce cas autant que la promenade vaille le coup.

Lui glissant un clin d'œil, je continuais de la guider, serpentant entre les rues. Finalement, le labyrinthe déboucha sur un chemin de terre que nous suivons puis qui donne sur le Styx.

- Voilà, profitons de la vue et marchons.

Je ne lâchais pas la main de l'immortelle, la caressant de mon pouce.

Abriel voulait me rassurer, il arrivait très bien, comme toujours. Il m'embrassa sur le front, je fermais les yeux, me blottissant contre lui.

- Si tu souhaites marcher, nous marcherons, mais dans ce cas autant que la promenade vaille le coup.

Il me tira par la main, nous faisant marcher au travers des rues étroite de la ville. je lui sorti, impatiente de voir où il allait m'emmener. Finalement, cela aboutit à un chemin près du Styx, mon regard s'illumina alors qu'un sourire se dessina sur les lèvres.

- très bon choix mon amour !

je l'embrassais sur la joue puis nous nous remîmes à marcher. Nous crisions d'autre couple qui nous saluaient poliment. le Styx semblait être le coin le plus apprécié des enfers pour les balades en amoureux. je sourit, fixant l'eau où flottait les âmes damnés, certes, on pourrait trouver cela un peu glauques mais, enfaite, aps du tout, c'est même beau, cette eau qui brille d'une étrange lumière et tout ses visage qui semble en paix bien que le destination soit encore un mystère pour certain.

- Et dire qu'il y à encore quelques mois nous étions des ennemis...et maintenant je n'imagine pas ma vie sans toi.

Je sourit à Abriel, serrant sa main un peu plus et ajouta:

- tiens..je suis curieuse... dis-moi..j'aimerais savoir, quand, précisément, es-tu tomber amoureux de moi ?

Une douce chaleur envahit mon cœur lorsque je vit le visage d'Angie s'illuminer alors que nous nous approchions des abords du fleuve le plus connu des Enfers. Un sourire me gagna également sans même que je ne m'en rende compte. Elle déposa un léger mais au combien tendre baiser sur ma joue, puis nous commençons à longer les rives, main dans la main. Profitant de la présence de mon aimée, je profitais également de la beauté du paysage. Le soleil couchant donnait de magnifiques reflets allant de la couleur or à rouge sang sur la surface lisse du lit des âmes. Cette palette envoutante diffusait une atmosphère des plus chaleureuses dans les environs et c'était presque comme si ces couleurs vous inondait de leur chaleur. Perdu dans ma contemplation, j'entendis Angie dire :

- Et dire qu'il y à encore quelques mois nous étions des ennemis...et maintenant je n'imagine pas ma vie sans toi.

Je rit un peu à cette remarque avant de lui répondre en plongent mon regard brûlant d'amour dan le sien :

- On dit souvent que les meilleurs ennemis font les meilleurs amis, alors pourquoi pas les meilleurs amants ?

L'étreinte de la main de l'immortelle se fit plus présente alors qu'elle poursuivais :

- tiens..je suis curieuse... dis-moi..j'aimerais savoir, quand, précisément, es-tu tomber amoureux de moi ?

Je réfléchit un moment. Non pas pour trouver la réponse car ce moment restait gravé dans ma mémoire, mais pour me replonger dans le contexte. Finalement, je déclarais avec un petit sourire amusé et légèrement mauvais :

- C'est le jour où tu as voulu une fois de plus tenter de t'introduire en cachette dans mon bureau pour m'assassiner et que finalement tu t'es effondré en me disant que tu ne savais plus où tu en étais.

Délaissant sa main, j'entourais sa taille de mon bras, j'avais besoin de la sentir plus proches de moi.

Je me sentais si détendu, tellement apaiser, qui aurait pût croire que les enfers pouvait être si chaleureuse ? avant, je redoutais les fois où je devait venir ici et maintenant, pour rien au monde je n'aurait voulu en partir. je m'y sentais chez moi alors que par le passé, peu importe où j'allais, j'avais toujours l'impression d'être une étrangère c'est sans doute pour cela que je n'est jamais eu de domicile et que je vagabondait la plupart du temps.

- On dit souvent que les meilleurs ennemis font les meilleurs amis, alors pourquoi pas les meilleurs amants ?

- oui, c'est vrai, tu as tout à fait raison ..comme toujours !

Je fit un sourire radieux à Abriel, fixant son visage éclairer par la lumière des derniers rayons du soleil. Il était si beau, si doux qu'il était vraiment difficile parfois d'imaginer qu'il était démoniaque. Quand à moi, je profitais chaque jours de tout se bonheur qu'Abriel me donnait, lui seule avait était capable de cela, personne d'autre.

- C'est le jour où tu as voulu
une fois de plus tenter de t'introduire en cachette dans mon bureau
pour m'assassiner et que finalement tu t'es effondré en me disant que
tu ne savais plus où tu en étais.

je souris de plus belle bien que je le regardais avec incompréhension? je secouais légèrement la tête et dit avec un petit rire:

- qu'est-ce qui as provoquer ses sentiments chez toi ? enfin...je ne comprend pas, tu ne peux pas être tomber amoureux comme ça, en une fraction de seconde !

Oui, remarque c'était la même chose pour moi mais je le lui expliquerais, que si abriel me posais la question...

Angie approuva avec rigueur ma remarque ce qui me fit plaisir, en revanche, le fait qu'elle me dit que j'avais toujours raison me fit grimacer. J'étais loin d'avoir toujours raison même si j'exigeais de mes subordonnés qu'il ne remette jamais rien en cause. Je préférais garder cette pensée sur moi, ne voulant pas gâcher la beauté de cette instant d'euphorie. L'immortelle était resplendissante et le sourire qu'affichait son visage fin aurait fait plaisir à n'importe qui. Finalement, elle me demanda quand j'étais tombé amoureux d'elle. Une question à laquelle il ne m'était pas difficile de répondre bien que la raison soit assez paradoxale.

- qu'est-ce qui as provoquer ses sentiments chez toi ? enfin...je ne comprend pas, tu ne peux pas être tomber amoureux comme ça, en une fraction de seconde !

Elle ne comprenait pas mais cela ne la frustrait pas, tant mieux. Rien ne semblait pouvoir briser ce moment. Je fixais le ciel un moment avant de recentrer mon attention sur elle.

- Et bien si. Je pense que la ferveur de tes sentiment m'a disons... transpercé.

Je n'étais pas sûr d'être clair encore une fois mais je n'avais pas l'habitude de parler de mes sentiments et donc il m'étais difficile d'expliquer ce que je ressentais. Esquissant un petit sourire, je décidais de lui retourner sa question, rongé par la curiosité :

- Et toi ? Quand et pourquoi es-tu tombée amoureuse de moi ? On ne peux pourtant pas dire que la tendresse est ce que je t'a offert de prime abord.

En y repensant elle ne comprenait pas mes raisons, mais moi non lus je ne comprenais pas vraiment les siennes. C'était comique mais finalement ce qui comptait c'était tout simplement ce qui nous arrivait maintenant.